L'écoles des femmes
Arnolphe, qui bien que se vantant du contraire, a toujours craint d'être cocu. Il informe son ami Chrysalde de son intention de se marier. Il envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction :
" Dans un petit couvent, loin de toute pratique,
Je la fis élever selon ma politique ;
C'est-à-dire, ordonnant quels soins on emploierait
Pour la rendre idiote autant qu'il se pourrait.
Dieu merci, le succès a suivi mon attente ;
Et, grande, je l'ai vue à tel point innocente,
Que j'ai béni le ciel d'avoir trouvé mon fait,
Pour me faire une femme au gré de mon souhait".Arnolphe s'en prend alors à ses domestiques leur reprochant d'avoir laissé un homme s'approcher d'Agnès. Puis il est vite rassuré par le récit ingénu que lui fait la jeune fille de sa rencontre avec Horace. Le jeune séducteur n'a pas profité de la situation pour ternir la réputation de la jeune pupille. Arnolphe exploite cette situation, redevenue favorable, pour annoncer à la jeune fille qu'il souhaite hâter son mariage. Agnès pensant que son tuteur souhaite lui permettre d'épouser Horace exprime toute sa reconnaissance à Arnolphe. Celui-ci rompt brutalement le quiproquo en lui indiquant que c'est de leur mariage à eux deux qu'il s'agit.
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