Ça tient beau, le soleil toujours brilliant et brûlant. On ne trouve que les voitures passantes dans la rue, les chaffeurs et les passagers emprisonnés dans les machines à fer, ainsi que les enfants et les adultes fixés par la ceinturede sécurité. Il me traverse l'esprit que les gens locales ont peur de s'exposer au soleil ou il est peut-être vrai que marcher à pied leur semblent très arriéré? Je sais pas. Mes parents n'ont pas d'argent pour l'acheter. Le bus me convient. Le bus s'arrête. Je monte. La destination: l'ecole. L'école me rend malade, n'importe où se situe cette prison. Je ne tiens pas à ceux qui habitent cette forteresse, ni ceux qui encadrent ce camp de concetration. D'après moi, la seule différence entre l'école ici et celle en Chine, c'est la langue officielle. Franchement, je m'en fous parce que je ne parle trop. J'aime plutôt rester avec un tas de livres. Ah...J'ai failli oublier de mentionner un petit secret que j'ai trouvé pendant ma première année ici. Les collégiens qui partagent la même couleur de peau, les caractéristiques semblables de gueule ou justement les vêtements similaires, se rassemblent après les classes et se saluent en langues que je ne connais pas. Je n'ai pas l'intention de me mêler à la foule chinoise, ni les autres groupes. Être l'un de ces groupes me semble vivre dans une véritable prison...De toute façon... La classe commence à l'heure. Je m'assis devant une table décorée de graffiti et m'appuie contre le mur à côté de moi afin que e ne m'endorme. D'ici peu, je me mets à cogiter et esquisser sur la table. L'enseigneur m'ennuie. La monotone et la langue étrangère me dépriment. J'aimerais plutôt apprécier les arbres sécoués par le vent et obrserve la classe remplie de monde qui appartiennent aux groupes différents. La sonnerie qui signale la fin de la journée me fait plaisir chaque fois qu'il commence à chanter. Je veux qu'il sonne sans cesse et le moment reste là d'ici à l'éternité. Je me dépêche sur