La métamorphose – Franz Kafka

Ce matin , je remarque que mon frère est encore présent à la maison, ce qui n'est pas dans ses habitudes, je lui demande s'il va bien, entendant qu'il se prépare, je repars dans ma chambre. Mais on sonne à la porte, c'est le fondé du pouvoir (le supérieur de mon frère), alors je préviens rapidement Grégor. Quelques minutes plus tard, j'entends que mon frère ne sort toujours pas de sa chambre, inquiète pour lui, je me met à sangloter.
Soudain, ma mère m'ordonne d'aller chercher un médecin, j'y cours bien évidement.
Tard dans la nuit, je ramène une écuelle de lait avec du pain trempé à la porte de la chambre de Grégor et quelques heures après, je pars me coucher. Le lendemain, je regarde avec curiosité dans la chambre de mon frère, quand je l'aperçoit sous le canapé, je prends peur et claque la porte, mais je la rouvre et entre. Je vois qu'il n'a pas fini son écuelle alors je la ramasse à l'aide d'un chiffon et lui apporte divers légumes avariés, des os du dîner de la veille avec de la sauce blanche solidifiée, des raisins secs, des amandes, du fromage inconsommable, trois tranches de pain (une nature, une beurrée, une beurrée et salée) et une écuelle d'eau. Enfin, je repars en enfermant Grégor dans sa chambre. Un peu plus tard, je reviens pour nettoyer ce qu'il restait de son repas.
Les habitudes s'installent au fur et à mesure, je vais nourrir Grégor deux fois par jour, à chaque fois, je me précipite à la fenêtre l'ouvre en grand et respire l'air de dehors.
Mais un jour, j'entre plus tôt que d'habitude dans sa chambre et vois mon frère, je prends peur et repars vite, je ne revins que le midi.
Mes parents attendent maintenant devant la porte de la chambre de Grégor pendant que je nettoie celle-ci et dès que, ayant finis de nettoyer, je sors de la chambre, je dois leur décrire chaque faits et gestes de mon frère. Ma mère veut voir Grégor mais mon père et moi la retiennent grâce à des arguments rationnels mais elle