l'association entre l'olfaction et la dépression
Les études devaient inclure des données associées sur la perte olfactive quantitative chez les patients déprimés et les témoins sains. Les articles ont été exclus s'ils utilisaient l'auto-déclaration du patient pour évaluer la dépression, incluaient des patients souffrant de troubles neurocognitifs ou neuropsychiatriques autres que la dépression, ne rapportaient que des données olfactives subjectives ou utilisaient ≤ 2 odeurs pour les tests olfactifs. Pour être inclus dans la partie dysfonctionnement olfactif primaire de l'étude, les patients devaient avoir un dysfonctionnement olfactif existant tel que défini par des mesures objectives ou rapportées par le patient, sans restriction sur l'étiologie de la perte olfactive. …afficher plus de contenu…
Une seule étude a rapporté la prévalence de l'altération olfactive dans une population de patients déprimés : 8 des 29 patients atteints de trouble dépressif majeur (28 %) présentaient une altération olfactive telle qu'évaluée par les scores totaux au test Sniffin' Sticks et les seuils appropriés pour définir l'altération normale et olfactive. ( Rossi et al. 2015 ). Figure 1.Ouvrir dans un nouvel ongletTélécharger la diapositiveOrganigramme PRISMA décrivant la stratégie de recherche de la dépression primaire.Tableau 1.Caractéristiques des études sur la dépression primaireSource# CasMétrique de la dépressionTest(s) olfactif(s)ConclusionClepc et al. (2010) un 37 déprimés;
37 contrôles DSM-IV
BDI Sniffin' Sticks : I
VAS -