L’amour dans le jeu de l’amour et du hasard de marivaux et dans candide de voltaire
1377 mots
6 pages
L’amour du 18e siècle :L’amour dans Le Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux et dans Candide de Voltaire
Par Sayma Multani
997513757
Travail présenté à Corinne Beauquis
FREB55
Histoire littéraire en contexte
Centre de français et de linguistique
University of Toronto Scarborough
Décembre 2012
L’amour est généralement un jeu pour les individus qui sont devenu aveugles par les normes et la structure de la société. C’est dépeint comme une plaisanterie et il détient peu d’importance dans une époque où la seule chose qui compte est votre position sociale. Au 18e siècle le thème de l’amour a été utilisé dans les travaux de nombreux écrivains pour montrer les problèmes dans leurs sociétés et pour encourager les changements nécessaires entre les différents niveaux des classes sociaux. Marivaux et Voltaire intègrent l’amour dans leurs travaux comme un moyen d’expression contre ce qu’ils pensent est drôlement ridicule comme règles. Dans cette dissertation je vais montrer comment l’amour a des limites fixées par la société et comment c’est utilisé pour indiquer le point de vue de Marivaux et de Voltaire sur les hiérarchies sociales, qu’ils pensent, ne doivent pas exister. Finalement, je vais démontrer comment les auteurs montrent la superficialité qui existe dans leur société.
Dans les deux textes l’amour a une certaine limite que les personnes des différents niveaux sociales ne devraient pas dépasser. Dans l’époque de Marivaux et de Voltaire, les individués donnent beaucoup d’importance aux niveaux sociaux et les frontières entre ces nivaux étaient impossibles à passer. Donc les deux auteurs ont utilisé leurs textes comme un moyen de planter l’idée de mettre en œuvre le changement de cette structure. Spécifiquement, dans la pièce de Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard, il montre l’amour et le mariage entre deux personnes qui sont des différents rangs sociaux. Il montre que cela n’a aucune importance pour ceux qui peuvent, s’ils