L’existentialisme est un humanisme de sartre
« L’existence précède l’essence » notre premier rapport au monde vient de la subjectivité
Heidegger : La réalité-humaine : l’être humain athée est le seul dont l’existence précède l’essence. Il se définit ex-post. Il n’y a donc pas de nature humaine vs Descartes, Rousseau, Kant, Voltaire. L’homme n’est rien d’autres que ce qu’il fait.
Le radicalisme : Dieu n’existe pas mais des valeurs a priori à l’expérience oui.
Principes :
- Subjectivité
- L’homme serait ce qu’il a projeté d’être et non ce qu’il veut être
- L’homme est pleinement responsable
- L’homme se choisit en choisissant tous les hommes Il crée une image de l’homme qu’il choisit
- L’homme est angoisse car l’homme s’engage et ne peut échapper à sa responsabilité devant l’humanité. La mauvaise foi comme échappatoire. Mais l’angoisse ne conduit pas à l’inaction.
- L’angoisse d’Abraham de Kierkegaard. Qu’est-ce qui lui garantit que c’est un ange (la voix de Dieu) qui lui réclame le sacrifice de son fils ?
- Dostoïevski : « Si Dieu n’existait pas, tout serait permis »
- L’homme est libre et liberté. « L’homme est condamné à être libre » car il est seul et sans excuses. Condamné car il n’est pas responsable de sa création mais des ses actes (liberté)
- L’homme est responsable de sa passion.
- Ponge : « l’homme est l’avenir de l’homme »
- Délaissement Nous choisissons nous même notre être.
- Le sentiment se construit par nos actes.
- Vous êtes libres, choisissez, c'est-à-dire, inventez. Réponse à la demande de conseils.
- Descartes : il vaut mieux se vaincre soi-même plutôt que le monde.
- Agir sans espoir.
- Il n’y a pas de nature humaine
- L’existentialisme contre le quiétisme.
- L’homme n’a rien d’autre que son projet, que sa vie.
- Mais la plupart des hommes se cachent derrière la mauvaise foi.
- Ce qui compte c’est l’engagement TOTAL.
- Le cogito est la vérité absolue de la conscience s’atteignant elle-même. C’est le point de départ. On