l’intervention de l’Etat remède des imperfections du marché : opposant et partisans
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Afin de combler leurs besoin, les agents économiques effectuent des transactions économiques sur le marché qui peut être définit comme un lieu physique (échange des produits) ou abstrait (confrontation des offres et des demandes) où les échange s’effectuent en fonction des prix. Reste le marché ne permet pas toujours une allocation efficace des ressources, on parle de défaillance de ce dernier la où une situation coopérative n’émerge pas des choix individuelle. De se fait l’Etat peut remédier à ces imperfections par certaines politiques afin de les réguler, les première apparussions de la contestation de l’intervention de l’Etat on eu lieu simultanément avec les apports de certains acteur tel que ADAM SMITH (1723-1790) et DAVID RECARDO (1772-1832) qui on déduit que l’intervention de l’Etat prévient l’allocation optimale des ressources. Toute fois après la crise 1929, l’état s’est réhabilitée cela lorsque les mécanismes du marché n’ont pas pu dépasser la crise où KEYNES a mis en évidence la nécessité de l’intervention de l’Etat afin de rétablir l’équilibre.Néanmoins, le début des années 80 été marquer par la mis en évidence des défauts de l’interventionnisme et un retour accrue à l’économie de marché (suit a l’échec des politiques KENYSIENNES), où ils ont met leur confiance au mécanisme de marché.
A partir de ce point l’intervention de l’Etat dans la vie économique est l’un des sujet qui fait couler beaucoup d’encre, et qui a crée un débat idéologique entre opposant qui arguent une tell intervention déstabilisant les mécanismes du marché, et partisans qui font de l’intervention étatique une nécessité pour venir about des insuffisances des marchés.
A la lumière de cette confrontation on est ramené à se posée la problématique suivante : Est-ce-que les marchés peuvent s’autoréguler ou bien exige l’intervention d’un agent tertiaire qui est l’Etat ? Le but du présent texte est de présenter les débats théoriques relatifs au rôle de l’Etat, nous verrons dans un