L’écume des jours de boris vian
Pour commencer, Boris Vian à intégrer le courant surréaliste dans son roman l’Écume des jours de plusieurs façons différentes [IP1]. Premièrement, étant née dans les années folles, le surréaliste fait perdre à l’insolite son caractère étrange et juxtapose plusieurs éléments disparates, qui manque d’ordre [IS1]. Au chapitre 65 du livre, Boris Vian parle des deux porteurs du cercueil, qui sont d’habitude des hommes de belle allure qui sont bien habillés et propres. Cependant, aux lignes 5131 et 5132, les deux porteurs sont présentés de façon sale et délabrée : <<Ils étaient couverts de saleté […] ils avaient leurs vieux habits et n’en étaient pas à une déchirure près. >>, <<On voyait, par les trous de leurs uniformes>> [Preuve]. Les porteurs, présentés ainsi, perdent leur image d’hommes sérieux et professionnel pour laisser place à des hommes à l’image