R Sum Psy
Lors de la mise en place de la Politique de la santé mentale, les attentes étaient dirigées en grande partie vers un plan de services individualisé. Ce plan avait pour fonction d'intégrer les services offerts à l'intérieur du réseau de santé. Le Ministère de la Santé et des Services sociaux a reconnu que ce plan n'était à la hauteur des attentes, il comportait de nombreuses failles. Le Ministère a donc fait part de l'importance d'intensifiée et de diversifiée les mesures d'actions. Les services offerts doivent être inclus dans la communauté et ainsi améliorer la qualité, la continuité et la coordination des services consacrés aux individus ayant des troubles mentaux importants. Les mesures actions prises représentent des services de suivi communautaire, conforme au modèle ACT, que l'on appelle au Québec le suivi intensif dans le milieu.
Au Québec, le suivi communautaire n'est pas souvent pratiqué bien qu'il y ait des programmes disponibles. Le suivi communautaire ne signifier pas uniquement de faire en sorte de maintenir les services cliniques aux individus ayant de graves troubles mentaux. Mais de répondre aux besoins précis d'un individu, que ce soit par du soutien lors de situation de crise ou même lors de la recherche d'un logis ou d'un emploi. Les programmes de suivi communautaire ont pour mission de faire en sorte qu'il y ait une continuité dans les services offerts, de faciliter la disponibilité des services pour les gens vulnérables. De plus, le suivi communautaire assure l’imputabilité des services et le perfectionnement de l’efficience du réseau. Il faut dire que le but premier des programmes de suivi communautaire
Dans le suivi communautaire, les intervenants doivent faire des interventions en fonction de l'usager et il doit aussi s'intéresser à la perceptive de l'individu. Il y a différents modèles de suivi communautaire. Il y a des modèles qui sont basés sur 1 seul intervenant, comme le modèle clinique et le modèle axé sur les