Lecture analytique l’enfant de victor hugo
Statue en fonction du poète et de la poésie.
Introduction : Victor hugo auteur d’une œuvre colossale déclinée dans tous els genres littéraires ou presque du roman au thêatre, de la poésie à la prose d’idée, est l’un des plus éminents représenants du romantisme francais. Dans le poème l’enfant extrait des Orientales publiées en 1829, il décrit l’accablement d’un enfant grec, seul rescapé des massacres commis sur l’ile de Chio par les turs lors de la guerre d’undépendance menée par les grecs en 1822, enfant auquel il adresse la parole pour tenter de le consoler. Comment le poète utilise-t-il la figure de l’enfant pour dénoncer la guerre et ses ravages tant au plan matériels qu’un plan humain ? Après avoir analysé le tableau de la destruction et de la désolation dréssé par le poète, on montra comment la mise en scène du poète par lui-même dans son dialogue avec l’enfant est utilisée au service de la dénonciation de la guerre. I) Un tableau de la destruction et de la désolation drésser le poète.

Le poème repose sur un tableau developpé de la destruction et de la désolation semées par la guerre par la guerre toile de fond sur laquelle la figure de l’enfant se détache comme un sujet central. Hugo établit un contraste appuyé entre l’évocation idéalisée de Chio avant sa destruction et l’image qu’elle offre après son anéantissement par les Turcs. Il ne sétant pas sur le combat en lui-même résumer dans le premier hémistiche du vers 1, et l’on repère seulement quelque allusions à l’action guerrière, disséminées dans le texte, telles que le « fer » ou « la poudre » et « les balles ». En revanche le poète insiste sur les conséquences catastrophiques de la guerre. L’atmospère tragique d’emblée suggéree par l’épigraphe empruntée à une tragédie de Shakespeare, est soulignée par le vocabulaire de l’anéantissement : « ruine », « deuil », « grand ravage ». Par ailleurs, les horribles séquelles de la guerre son évoquées à travers