économie industrielle
1. Pourquoi l’entreprise ? pp 1 à 3 + 1
A) UNE SYNERGIE STATIQUE
Les économies d’échelle.
Au fur et à mesure que la Q produite augmente, les rendements d’échelle sont : d’abord croissants (le coût moyen décroît) et ensuite décroissants (le coût moyen croît).
Aussi longtemps que le CM décroît, l’équilibre (profit max) est inaccessible car plus la Q produite augmente, plus le CM diminue, et donc plus le profit unitaire augmente. Donc, Q de profit max est inaccesible.
L’équilibre est donc accessible uniquement en phase de rendement d’échelle décroissant ( coût moyen croissant) ; l’entreprise doit donc d’abord épuiser sa phase de rendements d’échelle croissants.
Le SME, seuil minimum d’efficience, désigne la valeur de Q à partir de laquelle le CM croît.
Les économies de gamme.
Produire plusieurs produits sur un même site permet de supporter un coût de production total (coût de production jointe) moindre que la somme des coûts de production indépendants de chaque produit sur un site différent.
Multiplicité des sièges ou intégration.
1. Conglomérats pour réduire les risques par diversification des activités
2. Intégration horizontale pour économies d’échelle et efficacité, (permettant entre autre de renforcer la garantie de remboursement des emprunts)
3. Multiplier les sites de production pour limiter les risques de rupture de production (ruptures techniques et sociales)
4. Intégration sociale pour contrôler approvisionnement et/ou distribution
B) UNE RELATION A LONG TERME
L’effet d’apprentissage, learning by doing, qui, au début, freine la croissance de la production, mais qui, une fois la formation et l’expérience acquises, dope la croissance.
C) UN CONTRAT INCOMPLET
Théorie de l’inefficacité-X repose sur :
- la divergence