VII

Les enjeux :
La scène de ce poème se déroule comme dans le précédent dans un wagon de train. A la différence que celui-ci avance à toute allure. Le personnage est seul cette fois-ci il regarde, par la fenêtre, le paysage qui défile qui change au fur et à mesure que le train avance à l’instar du précédent qui ferme les yeux pour ne pas voir à l’extérieur. Il raconte ce que ses sens perçoivent dans ce wagon. Le train parcourt des paysages dans la campagne. On remarque que ce n’est pas en hiver, car il y a la présence du blé. Ce wagon est brutal contrairement au précédent qui est douillet.

Nous avons relevé les enjeux suivants :

-les différents conforts : Dans le poème de Rimbaud le wagon est confortable, mais l’extérieur est presque un cauchemar : « Avec des coussins bleus. » ; « des démons noirs et de loups noirs ». Tandis que dans le poème de Verlaine le confort se trouve dans la pensée de Verlaine, et pas dans le wagon qui avance brutalement : « wagon brutal » ; « blanche vision ; pur pivot »

-l’indifférence: Dans la dernière strophe on remarque que le personnage au milieu des bruits du train, de l’odeur du charbon et de la vision du paysage qui défile rapidement, se pose la question suivante: « Que me fait tout cela? »

Pour finir les deux poèmes parlent d’amour :

Les deux poèmes parlent d’amour. Dans le premier poème on remarque le champ lexical de l’amour : « un nid de baisers ». Dans le deuxième poème le personnage pense à quelqu’un qu’il aime : « la blanche vision qui rend mon cœur joyeux. »