Le voyage, c’est tout d’abord l’envie de l’ailleurs. Un besoin d’évasion afin de se ressourcer, découvrir, apprendre, apprécier, explorer tout ce qui nous entoure, ou encore, faire des connaissances que l’on n’aurait jamais faites en temps normal.
Voyager amène à s’imprégner de nouvelles cultures, de nouveaux modes de vie. On apprend à connaitre l’étranger, à suivre son train de vie, à observer ses habitudes. Notre vision du monde tel que nous le voyons, peut être modifiée : on revient la plupart du temps d’un voyage, l’esprit plus ouvert qu’au départ.
On peut prendre l’exemple du philosophe Voltaire pour l’ouverture d’esprit. En effet au retour de son exil en Angleterre en 1728, il semble impressionné par l’esprit de liberté de la société anglaise comparée à la société française où régnaient encore les lettres de cachet et le pouvoir absolu du roi. Là-bas, il a appris à vivre avec une vision différente de la monarchie. De retour à Paris il voulut tout faire afin d’améliorer les conditions sociales et judiciaires dans cette société.
Dans son cas, le voyage a instruit à Voltaire un nouveau mode de vie et un nouveau regard sur la société française.

Mais de nos jours, quels sont les bénéfices du voyage en général ? Il y a-t’ il le même ressenti ou encore les mêmes découvertes à faire qu’aux siècles derniers ?
Au XXIème siècle, un voyage peut se traduire par de simples besoins de voir le monde, de le découvrir. Dans ce cas-là, on part à l’étranger en famille ou tout seul, et on part à l’aventure afin d’apprécier le maximum de choses, d’objets, d’endroits. On s’imprègne de tout et de n’importe quoi, peu importe, du moment que l’on s’évade et que l’on sort de la routine habituel que l’on connait. C’est comme partir à la découverte de l’inconnu et revenir avec son sac remplis de connaissances et de souvenirs.
L’apprentissage d’une langue est également un motif pour partir en voyage. L’étranger n’effraye plus et intéresse de plus