1) les signes précurseurs. 1. Les conditions de l'Italie du nord. • Au niveau de l'industrialisation et de l'économie.
On appel l’Italie du nord tous ce qui ce trouve au-dessus de Rome. C'est la partie la plus industrialiser de l’Italie. C'est d'ailleurs dans ces régions qu'a eut lieu pour la première fois la révolution industrielle. Dans ces régions, il est uniquement possible de travailler dans les usines et les entreprises. Mais l'Italie a du mal à rattraper le retards laissé par les allemands ou les anglais notamment à cause d'un manque de matières énergétiques comme le charbon qui est essentiel à cette période. Au 19ème siècle, l'économie de l’Italie du nord, comme dans l’Italie entière, se porte très mal, c'est une grave période de crise caractérisé comme les années les plus noires de l'économie italienne. Elle est du à la rupture commercial avec la France, une crise agricole (concerne plus le sud de l’Italie), et une crise immobilière et bancaire. L'agriculture dans le nord de l’Italie est presque inexistante, elle laisse plus la place à l'industrie et donc délaisse tous les paysans qui sont installés dans ces régions dans la pauvreté. • Au niveau politique.
Comme je viens de le préciser, dans le nord de l’Italie, la politique s'occupe beaucoup plus de l'industrialisation pour essayer de rattraper le retards laisser par les autres pays. Le 19ème siècle pour l'Italie est aussi un siècle de la réalisation de son unité et c'est surtout dans le nord de l’Italie que son action sera la plus forte avec le raccordement à l’Italie de Venise et plusieurs parties de régions qui appartenaient avant à la France ou à la suisse voire même à l’Autriche. C'est justement dans le nord que cette unification s'est jouée, des régions les plus riches. Elle reposera principalement sur l'alliance entre la bourgeoisie du nord qui souhaite élargir ses marchés bénéficiant aussi de la croissance de l'industrie qui modernise son agriculture et le Comte Darvour (Premier ministre