Étude culturelle
Liberté de communication / liberté de l’entreprise / respect des citoyens consommateurs : quelles sont les limites à imposer et quels sont les impacts du « greenwashing » sur le comportement du spectateur
Devenue depuis quelques années un enjeu politique, économique, social et surtout environnementale, l’écologie est au centre de tous les débats. Une sorte de consensus semble naître et les médias se font volontiers l’écho d’une conscience collective émergente, encore diffuse mais qui s’affirme d’année en année. Plusieurs et différents types de supports de communication se sont approprié cette cause qui s’est pensée urgente à entreprendre. Dés lors la contrainte écologique s’est explicité au prés du grand publique afin de le sensibiliser par rapport à son comportement quotidien face aux conséquences de ces actions les plus anodines. Très vite la société de consommation se retrouve menacer par les précautions écologiques et les associations de plus en plus intransigeantes face au produits/services polluants ; très vite aussi publicitaire comme chef d’entreprise réalisent que pour continuer leurs activités, leurs produits ne doivent pas « apparaitre » comme nocif pour l’environnement. C’est de la que découle la notion ou plutôt la définition même du « greenwashing »1. Le « greenwashing » est un terme américain qui se traduit par le dictionnaire terminologique2 français par éco-blanchiment ou blanchiment écologique, terme qui dérive directement de la fusion du mot « vert » et « blanchir », et qui est utilisé notamment pour désigner le blanchiment d’argent. La finalité du greenwashing relève plus d’un Soucis de rentabilité économique que du simple intérêt environnemental. Cette finalité primordiale du greenwashing pervertie le but « noble » qu’elle prône à travers les publicités. Cela dis la publicité est un moyen de communication à
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Greenwashing ,