Étude de cas en éthique sexuelle
Le problème auquel nous assistons est caractérisé par une jeune étudiante, en l’occurrence, Lucette, qui vend son corps, donc qui fait des faveurs sexuelles à de jeunes garçons en échange de réponses d’examens, et éventuellement pour du « pot » ou de l’argent.
Depuis maintes années, nous assistons au Québec à un phénomène fréquent chez les jeunes individus qui sont en âge de participer à des activités sexuelles (prostitution), qui font cela par choix ou parfois par obligation et qui veulent se dégager d’une situation sociale ou économique difficile. En effet, on remarque que ce problème est bien plus fréquents dans les milieux défavorisés où la pression sociale et professionnelle est grande, où au fil du temps, le gens se sont habitué à ce phénomène, qui est davantage banal pour ceux-ci à cause de son omniprésence dans leur société. Le problème va même plus loin, certaines personnes sont victimes de pédophilie ou de prostitution forcée, à l’intérieur d’un réseau ou même d’un crime organisé. Par contre, la plupart de ces victimes sont coincées à l’intérieur d’un cercle vicieux duquel il est ardu de se détacher. On assiste à une combinaison d’oppression, de négligence, de violences et de traite de femmes qui permettrait de croire que la femme est un produit de consommation. On pourrait affirmer, qu’à la longue, ces femmes ont « accepté » le fait qu’il « constitue » des objets sexuels. Considérant que la prostitution est la plus vieille oppression du monde, les femmes s’adonnant à cette pratique seraient victimes d’un lavage de cerveau, qui les a amenées à croire que c’est la seule solution envisageable. Parlons maintenant de la confiance, qui est la source même du problème. Entendons-nous pour dire qu’une personne ayant une bonne confiance en soit n’éprouvera point le besoin de se tourner vers cette solution pour régler ses problèmes. De plus, elle n’entrera guère dans la manipulation des personnages infâmes qui dirigent ce milieu. Le