L'exclusion scolaire

À coté des actes de vandalisme sur les biens, la violence des jeunes dans les établissements scolaires a ces derniers temps fortement augmenté. A l'intérieur de l´école (dans la salle de classe et la cour de récréation) et à l´extérieur de l´école, il n´est pas difficile de constater une grande augmentation des comportements violents, par exemples des bagarres, des chantages, des rackets, des déprédations, les agressions et attaques psychiques, le harcèlement sexuel, la brutalité du langage, les conflits armés etc. Manquant de repères, les jeunes sont aujourd´hui considérés comme un grand « problème » sans aucunes compétences sociales, ni aucune compréhension des conséquences possibles de leurs actions et décisions.

L´exclusion scolaire, est-elle vraiment une solution contre ces violences scolaire et serait-elle « un nouveau départ » pour les jeunes? Malgré les critiques contre l´idée de sanction, la sanction coexiste avec l'évolution de notre société. Une société est un « système » qui n´existait pas sans pouvoir de sanction, qui est indispensable pour empêcher un comportement qualifiée d´injuste et d´inopportun. L'école est évidemment un « soussystème » très complexe de notre société. C´est pour cela que les certaines interventions éducatives seraient dispensables. L´exclusion scolaire est une de telles interventions éducatives, qui est malheureusement utilisée pour la pratique des actes punitifs contre les élèves. Comme la peine trop sévère généralement n´empêche le crime, mais au contraire conduit aux mauvais traitements, l´exclusion en tant que punition n´est pas efficace prévenir la violence scolaire et pour intégrer les jeunes violents en milieu scolaire ordinaire.

Quelles sont alors les mesures idéales à prendre pour limiter la violence à l'école ? Exiger simplement plus d'engagements de la part des enseignants, est-il la solution ? Est-il réaliste de former les enseignants à se préparer à toutes les éventualités et à prévenir