Depuis l’instauration de l’ALENA conçu en 1994, plusieurs changements fût mis en vigueur dans notre société, positifs tout comme négatifs. Le problème qui nous concerne aujourd’hui est la possibilité d’agrandir cette zone de libre échange allant rejoindre les pays de l’Amérique du Sud. La zone de libre-échange des Amériques (ZLEA) représente un défi irréaliste et non favorable à tous, c’est pourquoi qu’avant de prendre une décision il y a beaucoup de points qu’ils faut prendre en considération. Il faut comprendre l’importance des impacts considérables qui sera causé sur la populations et sur l’économies si ce projet prend vie. Devrais-t-on accorder le droit à notre gouvernement de mettre en péril tout ce qu’on a bâti à travers ces années? Il est important de comprendre que cet enjeux n’englobe pas seulement l’économie de notre pays , mais la qualité de vie de ces citoyens.

Pour débuter, la ZLEA amène avec elle plusieurs enjeux défavorables concernant la structure politique, social et économique. Le démantèlement progressif du système d’éducation public, ainsi que de nombreux droits seront offert aux sociétés transnationales ce qui leur donnera carte blanche en tout ce qui attrait à leur commerce. Cette situation m’est aberrante puisqu’elle empêchera le gouvernement d’établir une limite au risque d’être poursuivie par les investisseurs étrangers qui auront le droit d’obtenir des dédommagements pour les profits qu’ils auront perdus. Non seulement cette situation enlève totalement le pouvoir au gouvernement élu, mais contribue à une grande perte d’argent à la société. On autorisera aux investisseurs étrangers le droit de s’établir dans n’importe quel pays de la ZLEA, et de faire concurrence au établissements d’enseignement publics tels que les universités et les collèges pour obtenir des fonds publics. La majorité du budget Canadien serait accorder à ce nouveau projet ce qui engendrerais un grand manque d’investissement pour nos services sociaux ainsi que pour