2) Le passé, période inchangeable de notre existence, est constitué d’évènements figés, lesquels ont construit et développé notre propre identité. L’avenir quant à lui, est caractérisé par l’incertitude et l’inconnu. Selon M. Carletti, ce qui n’est plus que souvenirs et faits définis, n’est pas digne de préoccupation. Il affirme même : >. Est-il donc préférable d’accorder de l’intérêt au passé, ou au contraire de le nier et l’oublier ?

Examinons tout d’abord, les aspects positifs liés à la connaissance de notre passé.
Le passé est une période de la vie d’un homme dont on doit prendre connaissance.
Il est important pour une personne de tirer leçon de ses réussites et de ses échecs.
Dans certaines circonstances, l’homme a besoin de tomber pour mieux se relever.
Par ailleurs, l’homme apprend de ses erreurs pour ne plus les renouveler, il construit sa vie sur des évènements passés afin de se solidifier.
L’homme à également besoin de savoir d’où il vient. En effet, l’homme à besoin de connaître ses origines, de connaître l’histoire de sa famille. Ceci lui donne des références dans sa propre vie. Connaître ses racines lui donne de la contenance car appartenir à un groupe renforce l’individu, dans le sens où il peut se construire et continuer le travail entreprit par sa famille, s’il le veut !
S’il le veut, car certaines personnes ont des vécus familiaux lourds et difficiles, qu’ils préfèrent oublier. Par exemple, vivre avec le souvenir de sévices corporels où d’abus sexuels risque de marquer un individu à vie. Certains choisissent d’enterrer ces souvenirs. Mais, ce passé nous rattrape même s’il est enfoui au plus profond de nous.
Pour conclure, tout cela nous incite à penser que l’homme ne peut vivre sans la connaissance de son passé, car il ne pourrait construire son futur. Apres à lui de décider du chemin et de la voie à prendre pour son avenir.

Examinons ensuite les aspects négatifs lier a la connaissance de son passé. Le passé est une période