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’Institutionnalisation et l’essor de la sociologie

3402 mots 14 pages
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Partie 1: l’institutionnalisation et l’essor de la sociologie

A) Emile Durkheim (1858-1917)

Il est de condition sociale modeste, né dans une famille de rabbin et instituteur. Il intègre le lycée louis Legrand où il prépare le concours pour l’ENS, qu’il obtient en 1879, où il va côtoyer JEAN JAURES entre autres et le philosophe HENRY BERGSON, il passe l’agrégation de philosophie et enseigne dans des lycées français.

Il voyage en Allemagne, il soutient une thèse de doctorat en lettre, il devient chargé de cours à l’université de Bordeaux où il donne des cours de sciences sociales.
Il est titularisé dans une chair en 1906 à la Sorbonne.

Parcours typique, classique d’élève méritant sous la 3e République (normalien, agrégé, docteur puis professeur)

C'est un républicain convaincu et son idéal est celui d’une sorte d’universalisme laïc.

Son Parcours est marqué par les grandes questions de son époque : * défaite française de 1870, * insurrection de la commune, * affaire Dreyfus, * 1e guerre mondial. Il faut prendre en considération le contenu de son œuvre, car il fait de DURKHEIM un des fondateurs de la sociologie, son œuvre emprunte au positivisme, il s’inspire d’Auguste COMTE, œuvre composée d’articles année sociologique. Au-delà de ca, 3 ouvrages fondamentaux sur lesquels on va s’appuyer.

a)« De la division du travail social » 1893.

Résulte d’un travaille de thèse soutenue à la Sorbonne.
Dans cet ouvrage, Durkheim préconise une méthode destinée à analyser de manière systématique des faits sociaux.
Il développe d’autres thèses, comme la relation entre individus et la société question importante.

Cette question permet d’expliciter une sorte de loi qui caractérise l’évolution des sociétés.
Durkheim constate que dans les sociétés modernes, les individus ont tendances à être autonome vis-à-vis de la société.
Mais dans le même temps, la survie de ces mêmes individus autonomes tend de plus en plus à dépendre

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