La cagnotte

par

Colladan

C’est un riche fermier, mais son fils Sylvain – qui lui en veut quelque peu de l’avoir forcé à suivre une carrière qu’il n’aime pas – le décrit comme « une espèce de paysan borné, qui laboure à La Ferté-sous-Jouarre ». Il est avare et n’envoie à Sylvain que 100 francs de pension mensuelle. Champbourcy le soupçonne d’avoir glissé dix-huit boutons dans la cagnotte.

Son opinion sur le « mariage par annonce dans les journaux » est très simple : « Laissez-moi donc ! Des bêtises !… quand on veut se marier… on se fréquente… oui, oui, on se fréquente… »

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