Cette section compte 42 textes ; elle est beaucoup plus morcelée que les précédentes, et beaucoup plus impersonnelle, monotone et stéréotypée.
Les chansons II à V traitent de la jouissance.
La chanson III traite de l’amour courtois, et assure la continuité avec la poésie médiévale en proposant une conception traditionnelle de l’amour, mais à travers un renouvellement formel.
Les chansons X à XII abordent la thématique de l’envie.
La chanson XII appartient à l’édition de 1532. On peut la rapprocher des chansons qui la précèdent, X et XI, par le thème de l’envie et des envieux. On observe une rupture avec la chanson XIII qui évoque l’amour malheureux. On peut la rapprocher de plusieurs autres des chansons, dans sa composition formelle, comme les chansons IX et XXIV. C’est un texte joyeux de par le thème du Ferme Amour qui la soutient, et des envieux. On assiste à la description d’un amour partagé, éternel, heureux. Le style est assez impersonnel, chacun peut se l’approprier.
Du point de vue formel, elle comporte deux strophes, chacune de deux parties : six décasyllabes, six tétrasyllabes et un octos