1er régiment de spahis

surdité, consécutive à une maladie contractée en 1540, se fasse quasi totale ? Avait-il fait halte dans quelque maison particulière sur les bords du Tibre ? On ne saura jamais, mais on se doute un peu…Toujours est-il qu’il meurt à sa table de travail le 1er janvier 1560, à l’âge de trente-sept ans. Mort, Du Bellay ? Non, vous portez certainement encore en vous sa parole, ses vers, ceux-ci par exemple, dans Les Regrets (1555) : France, mère des arts, des armes et des lois, / Tu m’as nourri longtemps du

/Amour, je ne m’en veux ni meurtrir ni blesser, / Car pour dire entre nous, je puis bien confesser / Que plus d’un mois avant je l’avais oubliée. (Philippe Desportes, Odes, 1580) La mort à Bonport Célébré, adulé, riche, Desportes vit heureux jusqu’au 1er août 1589. Ce jour-là, le moine Jacques Clément assassine le roi Henri III. Le poète se rallie alors à la ligue catholique, prenant parti contre le nouveau roi Henri IV. La paix revient. Catholiques et protestants trouvent un terrain d’entente. Desportes

; mais on ne sait jamais au juste les quantités qu’on a volées de part et d’autre. On n’a pas le temps, en rase campagne, de compter les blés par hectolitre comme à la Halle et les foins comme à la rue d’Enfer. Les chefs arabes, aussi bien que nos spahis, préférant l’argent, vendent alors ces denrées à de très bas prix. L’administration de la guerre, elle, a des besoins fixes ; elle passe des marchés à des prix exorbitants, calculés sur la difficulté de se procurer des vivres, sur les dangers que

; mais on ne sait jamais au juste les quantités qu’on a volées de part et d’autre. On n’a pas le temps, en rase campagne, de compter les blés par hectolitre comme à la Halle et les foins comme à la rue d’Enfer. Les chefs arabes, aussi bien que nos spahis, préférant l’argent, vendent alors ces denrées à de très bas prix. L’administration de la guerre, elle, a des besoins fixes ; elle passe des marchés à des prix exorbitants, calculés sur la difficulté de se procurer des vivres, sur les dangers que

portait une vareuse et un pantalon gris. L’uniforme des soldats américains » (l. 1, p. 20). Cette présence est confirmée par l’explication que le soldat donne lui-même : « L’homme dit qu’il ne pourrait probablement pas repasser demain parce que son régiment partait pour la Somme » (l. 25-27, p. 22). Cette menace – la prochaine bataille et peut-être la mort – pèse sur toute la nouvelle. teur s’arrête. À la fin du récit, l’émotion du lecteur est à son comble car le bonheur pour ces deux jeunes gens