1959 au cinéma

LYCÉENS ET APPRENTIS AU CINÉMA Avec le soutien du Conseil régional Bonnie & Clyde États-Unis, 1967, 1 h 51, format 1.85 Réalisation : Arthur Penn Scénario : Robert Benton et David Newman Image : Burnett Guffey Son : Francis E. Stahl Montage : Dede Allen Musique : Charles Strouse Interprétation Clyde Barrow : Warren Beatty Bonnie Parker : Faye Dunaway C.W. Moss : Michael J. Pollard Buck Barrow : Gene Hackman ARTHUR PENN ET LE NOUVEL HOLLYWOOD Dès son premier film, Le Gaucher, western réalisé en

Fiche Élève LYCÉENS ET APPRENTIS AU CINÉMA Certains l'aiment chaud États-Unis, 1959, 2h, noir et blanc Titre original : Some Like it Hot Réalisateur : Billy Wilder Scénaristes : Billy Wilder et I.A.L Diamond Interprétation Jerry/Daphne : Jack Lemmon Joe/Josephine/Junior : Tony Curtis Sugar : Marilyn Monroe LA CONFUSION DES GENRES Chicago, 1929. Joe et Jerry, deux modestes musiciens de jazz, assistent par hasard à un règlement de comptes entre gangsters. Pour leur échapper, ils se déguisent

: première des Cinq colonnes à la Une, animée par Pierre Lazareff émission en direct. • 26 mars : création Télé 7 jours • Octobre : La Tête et les jambes animé par Pierre Bellemare • 20 octobre : premier numéro de Télérama, qui succède à Radio-Cinéma-Télévision 1961 diffusion série Chapeau melon et bottes de cuir • 12 avril : premières images venues de l'espace avec Spoutnik 1 • Novembre : L'Homme du XXè siècle, Pierre Sabbagh. création française premier jeu télévisé questions de culture générale

Pourquoi le cinéma ? Jean Epstein, Chantal Akerman , Jean-Luc Godard A l’attention de Claudine Le Pallec-Marand Université Paris VIII Sujet Nagisa Oshima, L’empire des sens (1976) Axelle Pierre – L3 Information&Communication – 235162 Janvier 2010 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION 3 Le Documentaire 4 La Photogénie 4 Le Dispositif 5 Le Rythme Cinématographique et Montage 5 CONCLUSION 7 BIBLIOGRAPHIE 8 FILMOGRAPHIE 9 FICHE TECHNIQUE 10 INTRODUCTION

attribuée aux nouveaux films distribués en 1959 et qui sont principalement présentés au Festival de Cannes de cette année-là. Elle regroupe les jeunes cinéastes qui font leur premier long métrage en 1958-1960 (Exemple Claude Chabrol, François Truffaut, Éric Rohmer,…). La nouvelle Vague se caractérise par une nouvelle façon de produire, de tourner, de fabriquer des films qui s’opposent aux traditions et aux corporations. C'est toute la grammaire du cinéma qui est remise en question de multiples manières

livre. Le style : Le vocabulaire est simple mais bien écrit et formulé. Structure spatio-temporelles : L’histoire se passe dans le sud des Etats-Unis entre 1959 et 1960. À cette époque, le niveau de racisme est très élevé et présent envers les personnes de couleurs. Au sud des Etats-Unis, les noirs étaient interdits de bar, de cinéma, de restaurent, d’hôtel et même de transport public. Leur niveau de vie était très difficile. Beaucoup de noir préféraient mourir que de vivre la vie qu’ils avaient

musique rock, les voitures à moteur trafiquées (hot roads) et le cinéma où joue principalement la femme voluptueuse comme Dorothy Lamour, et la beauté adolescente comme Debbye Reynolds. Elles sont un modèle féminin pour les adolescentes. Ainsi, les adolescentes affirme leur pouvoir de séduction grace qui cinéma, mais aussi grace à l'apparition de poupée pin-up comme la poupeée Lilli ou la poupée Barbie.Cette dernière fut crée en 1959 par Ruth Handler, une femme d'affaire américaine qui a révolutionné

[pic] 1 Présentation 2 2 Le cinéma fantastique muet 2 2.1 Le pionnier : Georges Méliès 2 2.2 Adaptations d’œuvres littéraires 3 2.3 L’expressionnisme allemand 3 3 L'essor commercial : le cinéma fantastique hollywoodien 4 3.1 L’empreinte gothique 4 3.2 L’avènement du merveilleux 4 3.3 Le péril atomique, ou la menace de la guerre froide 5 4 Le cinéma fantastique se libère 6 4.1 Le fantastique anglais : le déchaînement des couleurs 6 4.2 Le fantastique italien

l’invention du cinéma d’auteur Introduction  ( 2 min ) Godard, Truffaut, Chabrol, Rohmer, Rivette… Des noms qui sont connus par la plupart, auréolés d’un certain prestige dans le milieu cinématographique. A l’origine simples critiques cinéphiles, rats de cinémathèques et amateurs de joutes oratoires à propos de films et de cinéastes, ils vont à leur tour passer à la réalisation : Truffaut avec Les 400 coups en 1959 Godard avec A bout de souffle, en 1960 Chabrol avec Le Beau Serge en 1959 Rohmer

Pierre Billard en février 1958 dans la revue Cinéma 58. Cette expression est attribuée aux nouveaux films distribués en 1959 et principalement ceux présentés au Festival de Cannes de cette année-là. C'est une campagne publicitaire du CNC qui va définitivement effacer le sens sociologique du terme pour l'appliquer plus strictement au cinéma. Le coup d'envoi fut donné par Le Coup du berger, court métrage de Jacques Rivette en 1956, mais le rejet du cinéma français officiel remonte en fait à la Libération