1ere Personne Du Singulier

Maldoror= Mal d'horreur/d'aurore. Oeuvre de violence, de haine et de destruction. *Personnages: - Ecrit à la 1ère personne du singulier- point de vue interne "je" l.3,14,20,21.. -S'adresse aux lecteurs= Vouvoiement "vous" l.1,3,7.."vous autres" l.1 -Impératif "soyez" l.3, "Observez" l.6, "Passez" l.3, "léchez" l.9 = à la race humaine = Tutoiement. "te" + "ô race humaine" l.21 -"Ils" x7 et au singulier "un pou" l.7, l. 13, "les poux" l. 17. +l.8 périphrase "ces brigands et la longue chevelure" Autres personnages

individuels, de la personne totale en situation au moyen de la méthode clinique. Dans le but de : * conseiller, * guérir, * éduquer, * prévenir et * résoudre des conflits après avoir posé un diagnostic au moyen d’entretiens (clinique) et de tests (quantitatifs). Fondateurs : * Lightner WITMER - 1896 : Fonde la 1ère Psychological Clinic , la présente à l’APA qui en 1919 ouvrira une section clinique. * Pierre JANET - 1887 : emploi pour la 1ère fois ce terme

personnage principal et l’auteur. 1ère phrase :- Distance entre l’auteur qui est une personne adulte et le personnage qui est un petit enfant Le «je» renvoie directement à l’auteur et le temps verbal (le présent) renvoie à la situation d’énonciation/écriture. «Il»: -l’auteur se détache momentanément du personnage en utilisant la 3èrne personne du singulier. Utilisation du présent et des temps verbaux du récit - Travail de remémoration - L’auteur personne adulte revient sur son passé - Retours

métaphore de la vengeance opposition entre “présumer” et les éléments de faiblesse possibles “épuisée et méprisée” pensées de Jason renforcées par la position à la rime 14-20 la vengeance de Médéev. 13 : Apostrophe de Jason, passage à la 2è personne singulier comme s’il était présent “je suis encore moi-même” assurance comme une menace avec le mot “encore” pour Jason qu’elle est toujours redoutable. Médée va souligner cet aspect , par des comparaisons v. 16, 18 et 20, la ressemblance entre le début

soit enseigné « correctement » : cette présentation est seulement basée sur mes affirmations en ce qui concerne la meilleure reconstruction de la grammaire Sindarin à partir du matériel publié. Quelques unes des personnes et des lieux apparaissant dans les textes sont basés sur des personnes et des lieux décrits dans les travaux de Tolkien. Ceci est supposé créer seulement une atmosphère – aucun des textes n’est censé être une réinterprétation des travaux de Tolkien, mais seulement une illustration

s’agit-il ? 4) Ce poème comporte-t-il des strophes ? Quelles remarques pouvez-vous faire sur sa mise en espace ? 5) Divisez le poème en trois parties auxquelles vous donnerez un titre. 6) Quels sont les deux temps dominants de la 1ère partie ? De quels types de discours s’agit-il ? 7) Quel est le temps de référence des deux autres parties ? Pourquoi ?   III Un tableau pathétique    1) L’auteur est-il présent ? Justifiez votre réponse en observant notamment les pronoms

latin, voici comment se passera notre année, tout d’abord concernant le fond, ensuite concernant la forme. Il y aura inévitablement une partie de grammaire . Mais, comme vous pourrez allègrement puiser dans vos nombreuses connaissances linguistiques de 1ère et de 2e, nous commencerons par revoir tout cela et aborderons ensuite la matière propre à la 3e année : tout ce qui concerne les pronoms, les déterminants, les degrés des adjectifs et l’une ou l’autre choses plus spécifiques au latin. Quand nous lisons

montre le désordre. - On retrouve toujours la même structure : sujet + verbe + complément. C’est régulier, répétitif. « Flambeau » : métaphorique, qui va s’éteindre un jour. - Du général au particulier, v. 1 à 14 -> processus d’anéantissement - 1ère hémistiche vers 1 et 2ème hémistiche vers 14 sont identiques : structure circulaire en boucle qui peut symboliser la fatalité de la mort. - Rimes masculines : syllabes accentués ; rimes embrassées, suivies et croisées -> montre le désordre. II

droits de la personne ? Il est nécessaire d’identifier ce dont on parle, parce que les DDH ne vont pas de soi. Les DDH apparaissent d’abord dans les textes, à un moment et un lieu donnés. • Les DDH sont un universel abstrait. On ne rencontre pas l’Homme. Selon certains, les concept serait ambigu, car il a une approche genrée (pas de prise en compte des femmes). • Droits humains : on qualifie un type de droit, mais on ne parle plus d’un bénéficiaire. • Droits de la personne : surtout

étude des variations de forme dans la phrase L’accord en grammaire fonde la correspondance entre des formes dont l’une est subordonnée à l’autre. 1. La relation sujet-verbe: les accords Le verbe à un mode personnel s’accorde en personne et en nombre avec le sujet. Cet accord manifeste le lien étroit qui existe entre les deux éléments essentiels de la phrase: le groupe du nom (ou son remplaçant, le pronom) et le groupe du verbe. - mode personnel: caractère d’une forme verbale