2 Conceptions Du Bonheur

débat. En 1654, c’est sa 2ème conversion qui fait de lui un apologiste : Il fait une retraite à Port royal où il se donne totalement à Dieu. En 1656 – 1657, il s’engage à fond dans la lutte entre les Janséniste et les Jésuites au sujet de la conception de la grâce. C’est peu après cet engagement au près des Jansénistes qu’il entreprend une apologie de la religion chrétienne, dont la rédaction, fragmentée par la maladie et la fin édifiante de l’homme, à donné ce que nous appelons les Pensées.

 Le bonheur est-il une affaire privée ? Introduction Le bonheur, la quête secondaire de l’Homme à l’état naturel après la survie de son espèce, le bonheur, défini par le plaisir et l’absence de douleur et de contraintes, la quête absolue de l’Homme moderne car l’instinct grégaire de sa survie n’entreprend plus sa pensée première. Cette question du bonheur va être même une des grandes questions de l’homme, pourquoi donc être heureux lorsque la mort est la trace finale qui régit notre existence

considéré différemment selon les époques et les philosophies. Ainsi, cette notion semble se diviser en plusieurs catégories, condamnables ou non au cours des siècles. Par conséquent, notre but sera de déterminer quelles différentes représentations et conceptions du plaisir apparaissent dans « Le Barbier de Séville ». Pour cela, nous verrons que le plaisir est parfois condamné, alors qu’il est d’autre fois vu comme une nécessité justifiée. Enfin, nous nous intéresserons au plaisir théâtral, essentiel dans

élabore sa conception du bonheur ? Annonce du plan : recherche de la vérité à travers la rencontre des deux sages + mise en pratique d’une solution pour atteindre le bonheur Axe 1 : les deux images de la sagesse Phrase introductive : Candide, Pangloss et Martin rencontre un philosophe turc qui refuse le débat philosophique puis un vieillard qui leur propose une vie de labeur. Le derviche Consultation : s’achève brutalement par une fin de non-recevoir presque grossier. (l6-7) 2 proposit°

Heidegger ; Wittgenstein ; Popper ; Sartre ; Arendt ; Merleau-Ponty ; Levinas ; Foucault. Fiches de révision 1. La culture Nature et culture L'art et la technique Les échanges 2. La vérité La vérité La raison et la croyance La religion L'expérience 3. La liberté La liberté La justice et la loi Le bonheur 1. La culture Nature et culture La culture s'entend d'abord par opposition à la nature : est naturel, ce qui se fait toutseul ; est culturel ce qui porte la trace du travail humain

Réflexion 2 : Le bonheur peut-il être un idéal politique ? Question directrice : Le bonheur est-il une affaire politique ? Position du problème : Le bonheur est une aspiration individuelle mais il se partage aussi avec les autres et dépend de nos relations à autrui en général. Je ne suis pas heureux seul. Alors il est vrai, mais semblable, que peuvent apparaître parfois comme des obstacles à mon bonheur. Mais sans eux, je ne peux réaliser mes projets et mes désirs. Le bonheur dépend aussi de mes

entame un nouveau développement, interrompu par Candide qui invite à l’action « c’est bien dit mais il faut cultiver notre jardin ». 2) Dans ce dénouement, les différents personnages cités du conte travaillent aux côtés de Candide, Pangloss et Martin. 3) On peut parler d’un dénouement heureux car Candide a trouvé une solution au bonheur, car le bonheur ici limité mais solide est le fruit du travail, de plus Candide s’est libéré des illusions de l’enfance. Ce dénouement ne ressemble pas au

Lecture analytique 3 Les rêveries du promeneur solitaire, JJ Rousseau 1782 LA REVERIE A. La rêverie: une méditation sur le bonheur au sein de la nature. -Lieux conduisent à rêverie, lacs agités, montagne. -Cp lexical de l'eau (fait naître rêverie) « flux et reflux » (l.9) « vague » (l.6) paragraphe 1 > mouvement de l'eau qui symbolise mvt de l'âme et du bonheur > multiple de rêverie « rêver » « songer » « sans prendre la peine de penser » « bercer » & nostalgie. -Expérience partager

soeur Ismène de la suivre pour la protéger. Elle rompt ses fiançailles avec Hémon le fils de Créon car elle sait que la mort l'attend. Elle se fait suprendre par les gardes et ils l'amènent à Créon qui sera obligé pour la loi de l'enterrer vivante. 2) Le quiproquo qui naît entre la nourrice et Antigone et qu'Antigone était sortie toute la nuit pour aller voir un garçon alors qu'en réalité elle est sortie jetter de la terre sur le corps de son frère. 3)L'opposition entre Antigone et Ismène se

de l'heure fugitive’, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; Il coule, et nous passons ! » 37 Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse’, Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur, S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? 41 Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface