2001, l'Odyssée de l'espace

2001: l'odyssée de l'espace Un film de Stanley Kubrick - Titre original: 2001: A Space Odyssey - Année de sa sortie au cinéma: 1968 - Nationalité: Américaine - Genre: Science fiction - Acteurs principaux: Keir Dullea (David Bowman), Gary Lockwood (Frank Poole), William Sylvester (Heywood Floyd),... - Récompense: Oscar des Meilleurs Effets Spéciaux en 1968 I-Stanley Kubrick: Né le 26 juillet 1928 à New-York et fils de photographe, Stanley se passionne pour l'image au point d'être

réalisateur de plusieurs grands films cultes s'associe avec l'auteur de science-fiction Arthur C. Clarke pour travailler au scénario d'un nouveau film de science-fiction. Film qui mettra à l'avant-scène les voyages dans l'espace et l'évolution de l'homme.  2001: l'Odyssée de l'espace, est le fruit de leur travail, en 1968 les deux œuvres respectives sortent au grand public. La présente analyse comparera ces deux œuvres, l'accent se posera sur les descriptions de celles-ci. D'abord je parlerai des différents

Introduction 2001 : l’odyssée de l’espace est un film de science-fiction, réalisé par Stanley Kubrick, qui se divise en quatre parties, ou plutôt quatre temps dans l’histoire. Dans un premier temps, on se trouve à l’aube de l’humanité, il y a quatre millions d’années avant J.-C., où des humanoïdes y vivent. On enchaîne en 2001 où Dr. Heywood Floyd se rend sur la lune pour une mission top-secrète. Puis vient la troisième partie qui se passe 18 mois plus tard où le Discovery est lancé sur Jupiter

par kubrik : Le Baiser du tueur (Killer’s Kiss), L’Ultime Razzia (The Killing), Les Sentiers de la Gloire (Paths of Glory), Spartacus, Lolita, Docteur Folamour (Doctor Strangelove or How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb), 2001 : L’Odyssée de l’Espace (2001 : A Space Odyssey), Orange Mécanique (A Clockwork Orange), Barry Lyndon, Shining (The Shining), Full Metal Jacket et Eyes Wide Shut. Les film de Kubrik furent des œuvres controversés dés leurs sortie en salle , ayant une approche

caméra peut enfin avoir une « fonction rythmique» et ou « chorégraphique » ; la caméra ne suit pas les évolutions des acteurs, elle imprime à l’image le mouvement de la danse (Cf. Stanley Kubrick avec le ballet des vaisseaux spatiaux de 2001 : l’Odyssée de l’espace (1969), ou avec Orange mécanique (1971), dont les scènes de violence deviennent dans l’œil de la caméra des moments de danse). 1) Le panoramique - Le mouvement panoramique (ou « pano », ou « pan ») consiste en une rotation de la caméra

entière un homme du XXème siècle ; car il l’a marqué de son empreinte, comme d’autres grands artistes. Il nous laisse à sa mort 12 films : Le Baiser du Tueur, L’Ultime Razzia, Les Sentiers de la Gloire, Spartacus, Lolita, Docteur Folamour, 2001 : L’Odyssée de l’Espace, Orange Mécanique, Barry Lyndon, Shining, Full Metal Jacket et Eyes Wide Shut. Il a essayé tous les genres cinématographiques : la comédie (Docteur Folamour), la comédie dramatique (L’Ultime Razzia, Lolita), le drame psychologique (Orange

cette angoisse se voit dans Les Temps modernes de Charlie Chaplin: Charlot est rappelé à l'ordre par l'écran géant où apparaît son patron, qui le « voit » à travers et le suit des yeux. On peut encore déceler un écho de cette idée dans 2001 : l'odyssée de l'espace, de Stanley Kubrick, où l'ordinateur Hal 9000 surveille en permanence le vaisseau spatial et ses passagers par ses innombrables et inquiétants objectifs de caméra rougeâtres. Et il va sans dire que les habitants de la terrifiante ville

qu'elle aime. Du point de vue de l'anticipation, Barjavel se met enfin "à la page" de technologies qu'il avait peu ou pas traitées, comme les "cerveaux électroniques" (sa "traductrice" n'étant pas sans rappeler l'ordinateur Hal 9000 de 2001 : L'Odyssée de l'espace) ou le terrifiant laser-plasma désintégrant (le "plaser"), sans parler des machines étranges venues de la civilisation disparue, comme la "mange machine" qui crée des pilules nutritives à partir de rien, ou "l'arme G" qui broie les gens

qu'elle aime. Du point de vue de l'anticipation, Barjavel se met enfin "à la page" de technologies qu'il avait peu ou pas traitées, comme les "cerveaux électroniques" (sa "traductrice" n'étant pas sans rappeler l'ordinateur Hal 9000 de 2001 : L'Odyssée de l'espace) ou le terrifiant laser-plasma désintégrant (le "plaser"), sans parler des machines étranges venues de la civilisation disparue, comme la "mange machine" qui crée des pilules nutritives à partir de rien, ou "l'arme G" qui broie les gens

The Matrix, THX-1138, and I, Robot.) Some fictional robots are programmed to kill and destroy; others gain superhuman intelligence and abilities by upgrading their own software and hardware. Examples of popular media where the robot becomes evil are 2001: A Space Odyssey, Red Planet, ... Another common theme is the reaction, sometimes called the "uncanny valley", of unease and even revulsion at the sight of robots that mimic humans too closely.[99] Frankenstein (1818), often called the first science