2010 Commentaires Arrets Chambre Criminelle

Commentaire : Cons. Cons, 8 juillet 2011, décision n°2011-147 QPC L’article 6 §1 de la Convention européenne des droits de l’Homme dispose que chacun peut revendiquer son « droit à un tribunal impartial ». Ce principe d’impartialité qui est une condition nécessaire d’une bonne justice et qui désigne l’absence de préjugés qui doit caractériser le juge est consacré aussi bien dans le droit positif aussi bien français qu’européen qui le place comme un principe fondamental des juridictions pénales

question de savoir si cette loi pouvait rétroagir pour toucher des faits atteints par la prescription. La chambre criminelle le 26 janvier 1984 va répondre en disant que la loi de 1964 avait un simple caractère déclaratif, cette loi ne faisait que constater le caractère imprescriptible par nature des crimes c/ l’humanité. Dans l’esprit du législateur de 1964 il fallait éviter que d’anciens criminels nazis se promènent tranquillement en France, c’était pour les dissuader de venir en France. Art 213-5

c’est le blanc, ceci est symboliser par la déesse Thémis. Dans le raisonnement il faut faire la part des choses, c’est toute la discussion qui sera donné dans la deuxième partie. Cet aspect binaire fait parti des exercices juridique (dissertation, commentaire d’arrêt, cas pratique…) cette logique binaire se retrouve aussi dans tous les cours, cette division se retrouve aussi dans les ouvrages. Partie 1 : Méthodologie Juridique Les sources de connaissances Section 1 : Le cours Paragraphe 1 : Prendre

pénal qui incrimine l’abus de la situation de faiblesse, la Cour considérant le pouvoir d’appréciation conféré au juge pour l’analyse de la situation de faiblesse est conforme au principe de la légalité ; C. const., 27 mai 2010, n° 62/2010 ; C. const., 25 février 2010, n° 17/2010 ; C. const., 11 mars 2009, n° 39/2009 ; C. const., 10 juillet 2008, n° 102/2008 ; C.A., 21 décembre 2005, n° 199/2005 ; voir aussi, A. JACOBS, Le principe de légalité en matière pénale au regard de la jurisprudence de la Cour

droit positif, et donc ne pourra pas être mobilisé dans un cas pratique mais pourra être utilisé pour discuter dans un commentaire d’arrêt. Conseil pour l’épreuve : A prévoir 3 galops d’essai + 3 devoirs maison. Epreuve : cas pratique ou commentaire d’arrêt. Reprendre les notions juridiques liées à la matière, les apprendre et les comprendre. Prendre connaissance des grands arrêts de la jurisprudence civile, 12ème édition Dalloz, numéro 2 pour le droit des obligations. Toutes les semaines prendre

Droit Privé 01/12/14 exam : commentaire d’arrêt guidé (à rédiger en entier) ou dissertation au choix la preuve 1)le principe 2) les tempéraments : les présomptions Cciv, art 1349 : «  conséquences que la loi ou le magistrat tire d'un fait connu à un fait inconnu » → en principe le plaideur, celui qui agit en justice doit prouver ce qu'il allègue. Il doit prouver le fait à l'origine de sa prétention. Il est toutefois des cas où ce principe va être écarté par le mécanisme des

TD 4 méthodologie Camille Equilbec G6TD 4 - LE COMMENTAIRE D’ARRÊT Cass. 1re civ., 1er juillet 2010, n° 09-15.479 : Ilan X agressé par des tortionnaires, est décédé suite aux tortures qui luit-on été infligé. La photographie litigieuse qui montre Ilan X se faire torturé a était publié sans autorisation par les tortionnaires. À la suite de ça, la photographie a était publié dans le magazine Choc et plus particulièrement l’exemplaire numéro 120. La mère et la soeur de Ilan X demandent la réparation

1 Procédure pénale Notes de cours de 2009-2010 MASTER 1 CARRIERES JUDICIAIRES ET SCIENCES CRIMINELLES PREMIER SEMESTRE Jean Danet 2 Le procès pénal Sommaire Introduction 1 La qualité de partie au procès. 2 L’examen préalable et l’orientation du dossier pénal. 3 La composition pénale et la CRPC. 4 L’information ou instruction préparatoire. 5 Les nullités de l’enquête et de l’instruction. 6 Les mesures privatives ou restrictives de liberté prises durant l’instruction

était poursuivi le jeudi 27 octobre 2022 devant la Cour d’assises pour faux en écriture, usage de faux, émission de chèque sans provision. Reconnu coupable et ne s’étant pas présenté à la barre, il a été condamné par contumace à 10 ans de prison. En arrêt civil, il a été condamné à payer à Makan Fofana (sa victime) 170 millions F CFA à titre principal et 30 millions à titre de dommages et intérêts. Les faits !Il résulte de l’information que courant 2004, Koké Diarra informa Makan Fofana de la vente

Commentaire de l’article 312-12-1 du code pénal Comme dirait l’union syndicale des magistrats, à l’époque de l’ancien Président de la République, depuis plus de dix-huit mois, nous avons vécu une période d’inflation législative sans précédent, notamment en matière pénale. Etait-il nécessaire que les ministres de l’intérieur et de la justice lancent chacun deux de nouvelles grandes réformes pénales? Surtout que ce qui frappe, c’est l’accumulation et l’absence totale de cohérence entre les nouveaux