2ème Recueil Des Fables

forme d’une métaphore. La métaphore « fruits vermeils » fait référence aux poèmes de l’auteur. Avec l’allocution « bien que » il minimise sa production poètique. La voyelle « a » est dominante et sa nasalité « an ». Elle donne de la mélancolie au texte.2ème quatrain : l’âge murL’âge mur est désigné par la métaphore de « l’automne » qui reste dans le domaine naturel. La métaphore filée du jardin amorcée avec « l’automne

Les Deux Amis - Jean de la Fontaine, Fables VIII, II(678) Introduction : La fontaine , né en 1621 et decédé en 1695 est un fabuliste ayant vécu sous le Roi Soleil. La censure étant fortement présente a l'époque , la Fontaine utilise des moyens détournés. Il se servait souvent d'animaux pour écrire ses fables dans le but de dénoncer les courtisans omnibulés par l'argent et par les faveurs du Roi , les hommes à l'égo surdimensionné et d'autres causes encore En 1678 il écrivit Les Deux Amis. Cette fable est

fontaine, grd fabuliste du XVIIème siècle, il écrit 3 recueils de fables sur 30 ans et en 1668, il dédie ses fables au dauphin et affiche clairement son intention didactique. Il reprend des fables attribuées à Esope pour éduquer le jeune prince pour la découverte des vérités contenues dans ces apologues. Dans la 22ème fable, il reprend la fable d’Esope en étoffant le récit et en utilisant une forme diversifiée. 1er axe : Récit plaisant 2ème axe : la leçon d’un moraliste 1er axe : • Forme du texte

et Moraliste Famille bourgeoise Se lie d’ami(é avec des écrivains et des poètes (les chevaliers de la table ronde) A travers ses fables cri(que la monarchie Difficultés financières et personnelles (dépendance au jeu) La Cigale et la fourmi, Le corbeau et le renard, le lièvre et la tortue Histoire courte pour transme\re une morale ou leçon, recueil des « Fables de la fontaine » Chêne imposant et d'un roseau flexible. Le chêne se moque du roseau en le considérant comme faible et sans importance

S5 : Explication de texte n°2 d’un extrait du « Pouvoir des fables », VIII, 4, Fables , La Fontaine. (2h) Support  : manuel p. 450, v. 1 « Dans Athène… » à 31 « …honneur. » Objectif : Montrer que La Fontaine loue les vertus de l’argumentation indirecte, particulièrement à même de concilier l’objectif classique du « placere et docere ». Petite présentation rapide de LF et

Fontaine a commencé à écrire sous le règne de Louis XIV. Cette fable est tirée du second recueil, publié en 1694. L'une de ses protectrices était la marginale Mme de la Sablière. C'est par les contes, puis par les fables, sur le tard, que La Fontaine a connu la gloire. Le second recueil est dédicacé a Mme de Montespan. Les fables de ce recueil sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. Les fables sont liées les unes aux autres de façon fantaisiste: livre 7 => politique livre 8

C et D, les fables nous enseignent la ruse et la réflexion à toute action. Que ce soit avant celle-ci comme le renard du texte A qui avait pensé à s’appuyer sur les épaules de la chèvre pour se sortir du puits. Ou bien pendant l’action si l’on rencontre des problèmes à la façon de «l’Orateur » du texte C qui ne se faisant pas écouter, a penser à raconter une fable pour attirer l’attention du peuple. Ce qui a permis au cerf du texte D d’éviter la mort en mentant au prince. Les fables sont un enseignement

Le classicisme (2ème moitié du XVIIème siècle) Le classicisme recherche l’équilibre et la mesure dans la représentation de l’être humain ; il privilégie l’usage de la raison. Il cherche à établir un idéal esthétique répondant à des règles strictes (cf. la règle des trois unités) s’inspirant des modèles grecs et latins. Jean de la Fontaine : Jean de La Fontaine (8 juillet 1621 à Château-Thierry, 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient

Fontaine a commencé à écrire sous le règne de Louis XIV. Cette fable est tirée du second recueil, publié en 1694. L'une de ses protectrices était la marginale Mme de la Sablière. C'est par les contes, puis par les fables, sur le tard, que La Fontaine a connu la gloire. Le second recueil est dédicacé à Mme de Montespan. Les fables de ce recueil sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. Les fables sont liées les unes aux autres de façon fantaisiste:       livre 7 => politique  

fortune chez tous les peuples, dès qu’ils ont su réfléchir sur la vie et les règles de conduite qu’elle comporte. Les Grecs n’attendirent pas l’exemple pour enfermer leur expérience de la vie dans le cadre de la fable. On se racontait certainement des fables depuis longtemps, lorsque Hésiode, deux siècles avant Ésope, mit en vers celle du Rossignol et de l’Épervier . « Je vais maintenant, dit-il, instruire les rois, tout sages qu’ils sont. Voici ce que disait un jour l’épervier au rossignol, qu’il emportait