3 Fondements Monotheiste

Histoire naturelle de la religion Sa thèse est le polythéisme originel et oppose l’intolérance des monothéistes à la tolérance des polythéistes. Les philosophes des Lumières adoptent cette thèse car elle est en liaison avec l’idée de progrès. Les catholiques s’opposent à la thèse de Hume et au XVIIIème, on affirme que la société serait passé de la sauvagerie (polythéiste) à la barbarie (monothéiste) à la civilisation (philosophique). Au XIXème, le romantisme récluse l’idée de progrès en avançant

degré de conviction (croire en Dieu) -> la foi (n’existe que dans les religions monothéistes) Croyances sous forme de mythes : des récits d’origine, destinés à expliquer un fait actuel. Religion organisée par l’Eglise (christianisme), les croyances de base prennent la forme de DOGMES. La pratique religieuse : Elle est inséparable de la croyance religieuse : elle l’actualise, la détermine, la justifie. Rite possédant 3 caractères : Répétitif : prières, signe de croix… Social : pratique religieuse=

comment agir) et plus précisément ici étique: comment bien vivre ensemble. En effet l’ignorance et le manque d’éducation font le lit des guerres de religion où les fidèles d’une religion croit être les ennemis de l’autre. En outre il existe des fondements, des croyances et des figures saintes, communs au trois grands monothéisme: judaïsme, christianisme, islam: Dieu unique, créateur, les idées de paradis et d’enfer et un certain nombre de figures saintes comme Abraham, Moïse etc… mais aussi la morale

politiques majeurs afin de fortifier et enraciner le régime. Alors que la loi du 16 juin 1881 déclare gratuite l’école publique élémentaire, c’est au travers de la circulaire du 28 mars 1882 que l’instruction morale et civique devient l’un des fondements de l’école républicaine : l’objectif étant de socialiser les élèves et de les inclure au sein de la République. A l’époque, c’était également une manière de s’affranchir de l’enseignement d’une morale religieuse propre aux messages véhiculés par

inscrits les devoirs de l'homme envers son prochain: le très célèbre interdit «Tu ne tueras pas», puis «Tu ne commettras pas d'adultère», et l'interdiction du vol, du faux témoignage et de la convoitise. Ces commandements constituent la Loi écrite, fondement du Judaïsme. a croyance en la venue d'un Messie (nom signifiant «oint par le Seigneur» et traduit par «christ» en grec) est une source d'espoir pour les juifs: il établira l'ère de la justice et reconnaîtra les droits d'Israël. Mais, selon la

christianisme joue t-elle le rôle fondamentale dans les cultures et l'organisation des pop Européenne entre le 11 et le 13 ème s ? I- La chrétienté médiéval. A- Une Église omniprésente. => Les fondements de la Chrétienté. • Def : L'ensemble des personnes qui croient au christianisme (= religion monothéiste, croient en une vie après la mort. ) diffusé par le clergé et passe par des rites ( = messe, fête religieuse ). L'ensemble des chrétien forme l'Église où le clergé a une rôle important. Personnes

Dieu unique. Les Juifs vivent dans l’espérance de la venue d’un Messie (un "envoyé de Dieu") que leur ont promis les Prophètes (homme inspiré par Dieu et qui délivre son message aux hommes). B/ Les juifs dans le monde romain Unique religion monothéiste dans le monde antique polythéiste, le judaïsme bénéfice de la tolérance des autorités romaines. Les juifs sont dispensés du culte impérial mais restent très divisés face à l’occupant romain de la Terre Promise. Au Ier siècle av. J.C., des sectes

L’Islam, religion et civilisation INTRODUCTION RELIGION MONOTHÉISTE « Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l'immensité du résultat sont trois mesures du génie de l'homme, qui osera comparer à Mahomet un grand homme quelconque de l'histoire moderne ? » Lamartine Voilà ce que disait le poète Lamartine, montrant ainsi l'influence considérable qu'a eu la naissance et l'expansion de l'Islam sur nos sociétés. Ces dernières années et, notamment depuis les évènements du 11 septembre

sécularisé et où la raison semble dominé on observe pourtant un retour du religieux , tel est le constat fait par Gilles Kepel. Dans son livre  La revanche de Dieu  il fait le lien entre les différentes religions et il en déduit que les 3 grandes religions monothéistes sont revenue sur la scène politique et sociale à partir du début des années 70. Dans son ouvrage L'Islam mondialisé, Olivier Roy date également ce retour du religieux au début des années 70. La décolonisation puis la mondialisation

siècle en Arabie. Un adepte de l'islam est appelé un musulman. L'islam a pour fondement et enseignement principal le tawhid (monothéisme, unicité), c'est-à-dire qu'elle revendique le monothéisme le plus épuré où le culte est voué exclusivement à Dieu. La religion musulmane se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus[3]. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en