Atheisme

« Don Juan » Acte III, Scène 1 Hypothèse : Il y a ici une négation du surnaturelle. Dom Juan croit en qu’il voit, la logique, implicitement il renie Dieu. Ce sont des propos athées, qui nient toute référence possible à Dieu. Dans la scène, il y a un débat philosophique entre Sganarelle et Dom Juan et Sganarelle va argumenter pour défendre ses croyances (longuement) tandis que Dom Juan résumera en une phrase sa foi. Par la mise en scène, Molière place ses sympathies dans les propos de Dom Juan

Lien entre les trois oeuvres littéraire Les trois œuvres littéraires : Mon père je m’accuse, Le corbeaux en exil ainsi que SMITH-L’enfant de Noé sont tous des romans très sombres qui démontre de façon différente le thème de la souffrance. Premièrement, Mylaine Demers démontre de la misère tout au long du Roman à travers le personnage principal Maria. La misère est représentée du moment que cette jeune fille mère est envoyée au couvent et est forcée de donner naissance à un enfant qu’elle

Est-il rationnel de croire en dieu ? La religion est un facteur essentiel de la vie sur Terre. Chaque personne, selon sa religion vie différemment. Mais la religion qui fut jadis si importante au yeux des hommes, deviens de plus en plus critiquée, si bien que le nombre de personne athée augmente au fil du temps. Il existe une sorte de confrontation entre les religieux et les athées au sujet de l'existence de dieu. Par conséquent la question qui se pose est de savoir si il est rationnel de

 PHILOSOPHIE D'UNE VIE Par Oswald Wirth A ceux qui se sentent la vocation de construire eux-mêmes leur philosophie Avant Propos Construire un édifice spirituel est l’ambition de tout penseur indépendant, qui se sent capable d’assembler des idées et de les coordonner à sa convenance. Pour bâtir solidement, un terrain approprié doit être choisi, autrement dit, une conviction de base. Où trouver celle-ci plus indubitablement, qu’en la certitude que

L’existentialisme est un courant philosophique et littéraire qui postule que l'être humain forme l'essence de sa vie par ses propres actions, en opposition à la thèse que ces dernières lui sont prédéterminées par de quelconques doctrines théologiques, philosophiques ou morales. L'existentialisme considère donc chaque personne comme un être unique qui est maître, non seulement de ses actes et de son destin, mais également, pour le meilleur comme pour le pire, des valeurs qu'il décide d'adopter. Selon

d'une position athée cohérente. Il ne cherche pas du tout à plonger l'homme dans le désespoir. Mais si l'on appelle comme les chrétiens, désespoir, toute attitude d'incroyance, il part du désespoir originel.  L'existentialisme n'est pas tellement un athéisme au sens où il s'épuiserait à démontrer que Dieu n'existe pas. Il déclare plutôt : même si Dieu existait, ça ne changerait rien ; voilà notre point de vue. Non pas que nous croyions que Dieu existe, mais nous pensons que le problème n'est pas celui

dote d’une réelle liberté. L’homme est autonome dans le sens où il se donne à lui-même sa propre loi. De plus l’homme se réalise en se projetant, en se désengluant de lui-même pour construire dans une réalité intersubjective. Existentialisme et athéisme : P 77 : « L’existentialisme n’est pas autre chose qu’un effort pour tirer les conséquences d’une position athée cohérente. » « Même si Dieu existait, ça ne changerait rien, voilà notre point de vue. » . Conclusion Le problème n’est pas celui

nouvelletez de Luther commençoient d’entrer en credit, et esbranler en beaucoup de lieux nostre ancienne creance. En quoy il avoit un tresbon advis ; prevoyant bien par discours de raison, que ce commencement de maladie declineroit aisément en un execrable atheisme : Car le vulgaire n’ayant pas la faculté de juger des choses par elles mesmes, se laissant emporter à la fortune et aux apparences, apres qu’on luy a mis en main la hardiesse de mespriser et contreroller les opinions qu’il avoit euës en extreme reverence

Peut-on se passer de Dieu pour fonder une morale? Dans cette question nous nous demandons si il est possible d'avoir des principes, de créer un ensemble de valeurs et d'exigences qui définiraient de manière universelle ce qu'est le bien, sans «  l'aide » de Dieu, sans avoir, sans croire en une religion. La création d'une morale est-elle nécessairement dépendante de Dieu? Dieu transmet aux gens à travers la religion et la foi qu'il instaure des règles morales à suivre, une conduite à adopter

Les combats philosophiques des Lumières. Le XVIIIe siècle est souvent désigné comme le siècle des Lumières. La plupart des penseurs de l’époque jugeaient la religion responsable de l’aveuglement et de l’ignorance des hommes, reprenant ainsi les critiques des libertins érudits du XVIIe siècle, très virulents vis-à-vis des autorités religieuse : Le romancier Cyrano de Bergerac (1619-1655) ou le philosophe Gassendi (1592-1655). Variations autour de la religion. Les penseurs matérialistes et