Censure et Critique d'art

une dissertation à faire. Le sujet est : « Pensez-vous que l'on puisse traiter des sujets graves ou sérieux sur le mode plaisant ou humoristique ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples empruntés à vos lectures et à d'autres formes d'art, y compris le cinéma. » Je pense faire un plan thèse / antithèse / synthèse mais je ne trouve pas beaucoup d'arguments. J'ai aussi des problèmes avec l'introduction, ne sachant pas si celle que j'ai rédigée est correcte. La voici : Déjà

provoquait les périodes de spleen. BIOGRAPHIE 1 : Grand poète du XIXème siècle, Charles Baudelaire est connu pour sa vie de bohème. Auteur torturé, il publia de son vivant une seule œuvre, les Fleurs du Mal. Ce recueil de poèmes fut condamné et censuré à sa sortie, car trop choquant pour la morale bourgeoise, avant de passer à la postérité. Baudelaire y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel. Un refus de l’autorité

intellectuel européen qui désigne le retour à la lecture des œuvres antiques : redécouverte, établissement, édition, traduction des textes sont les activités de l’humaniste qui se transforme pour l’occasion en philosophe, philologue, juriste, critique d’art. Auteurs humanistes : - Rabelais : Pantagruel (1533) et Gargantua (1534) - Du Bellay : Défense et illustration de la langue française (1549), Regrets , Antiquités de Rome - Ronsard : Odes, Les Amours, La Continuation des amours

l’autorité religieuse ou politique. |    Objectifs     | · placer l’Homme au centre des préoccupations morales et philosophiques. ·encourager les sciences et le savoir, ainsi que la lecture des textes antiques · répandre toutes les formes d’art | ·imiter les œuvres de l’Antiqui- té pour en retrouver la richesse · défendre la langue française contre l’usage du latin · exalter la grandeur de l’uni- vers. · célébrer le poète inspiré par la « fureur divine » | · refuser la codification

l’autorité religieuse ou politique. | Objectifs |  placer l’Homme au centre des préoccupations morales et philosophiques. encourager les sciences et le savoir, ainsi que la lecture des textes antiques  répandre toutes les formes d’art | imiter les œuvres de l’Antiqui- té pour en retrouver la richesse  défendre la langue française contre l’usage du latin  exalter la grandeur de l’uni- vers.  célébrer le poète inspiré par la « fureur divine » |  refuser la codification

politique aux revendications littéraires de l’auteur. Dès lors ‘’l’engagisme’’ redéfinit le monde de l’enfance ». Entre la hantise romantique qui tend vers un mode inchangé de la littérature, encore elle-même balbutiante, et la conception d’une œuvre d’art émergeante, réside un fossé qui, lui, enferme la réponse d’une parole intérieure. Cette parole est celle de l’âme d’un peuple qui veut vaincre le désordre créé par les conduites tendancieuses (surtout à caractère ethnique), mettre un terme aux conduites

étudiés dans le cadre du parcours « Alchimie poétique : la boue et l’or ». C’est à partir du XIX siècle qu’une véritable révolution poétique s’installe dans la société. Le plus grand « révolutionnaire » a été Charles Baudelaire, un critique d’art acclamé mais surtout un poète perturbé qui s’amusait à défier la société et le monde poétique. Baudelaire, appelé aussi le poète de la modernité, était connu pour mettre en poésie de sujets nouveaux qui pouvaient même paraitre fades, sans intérêt

complètes dans la « Pléiade », où ce Voyage sera repris au tome II), nous donne pour la première fois un texte complet scientifiquement établi, non censuré, exactement servi par un appareil critique érudit et dense dû à Stéphanie Dord-Crouslé. Libérées des contraintes de la narration, les notes du voyage se découpent en descriptions de paysages ou d’œuvres d’art, s’organisent en petites scènes de mœurs, cruelles ou comiques, se cristallisent en fragments de journal intime, explosent en effusions lyriques

sujets sérieux. Il est donc incontestable que le théâtre a des buts plus utilitaires que la distraction. La comédie, qui est caractérisée par l’amusement, si ce n’est qu’un divertissement, n’aurait pas du susciter une si vive réaction de la censure, c'est-à-dire un contrôle exercé par le pouvoir politique ou religieux sur les spectacles, ouvrages et manifestations culturelles et sociales. Ainsi, au 17ème siècle, sous le règne de Louis XIV, Molière crée une comédie Tartuffe dont le personnage

France : les livres autorisés, les livres tolérés (approbation tacite, essentiellement les nouveautés et livres publiés à l'étranger), les livres contrefaits (reproduits malgré le privilège), les livres interdits (et donc clandestins). La censure n'est qu'une des faces de la politique culturelle du pouvoir monarchique. Son objectif n'est pas seulement de réprimer : il s'agit autant de favoriser la prospérité de l'édition française, confrontée à une redoutable concurrence suisse et hollandaise