Ethique

C’est du moins ce que pensaient les sénateurs américains qui rédigèrent la loi Sarbannes-Oxley promulguée en 2002 qui provoqua l’essor du whistleblowing. Le whistleblowing est en effet un dispositif d’ « alerte professionnelle » ou encore « alerte éthique » permettant la dénonciation d’agissements illégaux, immoraux ou illégitime au sein d’une organisation. Le terme « whistleblowing » admet plusieurs définitions dont celle-ci qui nous a paru intéressante pour appréhender ce concept : le whistleblowing

prenante » d’une entreprise. Le concept des parties prenantes est né d’une exigence éthique nouvelle de la société. Les entreprises doivent rendre compte des conséquences sociales et environnementales de leur activité. =>Les parties prenantes ont des intérêts dans le bon fonctionnement de l’entreprise. La notion de partie prenante recouvre les notions : • Ethique de l’environnement • Ethique financière • Ethique sociale Les parties prenantes de premier rang : celles dont l’entreprise ne peut

psychologique ou physique. Selon l’Institut de la santé publique du Québec, «le Québec se place 5e au monde en matière de suicide, comparé à une trentaine de pays de l’OCDE»1. Le suicide est un sujet touchant beaucoup de disciplines. La discipline éthique et morale y est pour beaucoup, car les gens en crises se demandent que faire pour régler leurs problèmes, comment y arriver. L’opinion sur le suicide est différente pour chacun. Il repose sur les valeurs de la personne. La discipline politique a également

PREMIERE SECTION : La Morale I – L’éthique eudémoniste : a) « Ethique à Eudème », Aristote -Réfléchir sur le fait qu’on a de vivre ou ne pas vivre. Opinion des uns et des autres. Celles le plus souvent avancées ne sont pas des opinions suffisantes. Au début, impasse : Pourquoi les raisons que nous avons de vivre nous échappent ? La première thèse positive est celle d’Anaxagore. -D’abord, Aristote nous parle de la vie des plantes et des animaux. Puis de la notre, une vie contemplative

n'est pas condamnable intrinsèquement, et peut légitimement susciter un intérêt. Gustave Thibon va même jusqu'à concéder que le sport, grâce en particulier aux dispositifs d'égalisation de la performance, peut être porteur de valeurs et d'un principe éthique exigeants. Mais à quel prix ? Comme le suggère Charlélie Couture, la logique même de la compétition sportive conditionne la réussite et la notoriété aux entraînements et aux sacrifices incessants. Quant à Gustave Thibon et Jean Giono, leur critique

Il est possible qu’il ait accompli son traitement chirurgical avec grande compétence et qu’il était fatigué à l’issue d’un long service, mais cela n’excuse pas le non-respect des principes éthiques. Cependant, il ne suffi t pas de parler pour communiquer. Il ne suffi t pas d’être vigilant pour être « éthique ». Dans le domaine sanitaire et social, plus que dans tout autre, il convient de toujours placer l’usager ou le patient au premier plan. Définition et délimitation des champs d’application Le

Patrick MIGNON. Et enfin le dernier est une caricature de plantu, extrait de son livre, « La france dopé », publié en 1998 et qui représente un coureur cycliste dopé fasse au média. Le corpus nous intéroge sur la répercution du dopage sur les valeur éthique du sport. Après nous être intérogé sur les causes du dopage, nous verrons en quoi cela posse un problème. Les causes du dopages reste multiple, mais deux critere resorte bien du corpus. Ainsi le sociologue Patrick MIGNON prouve que la principale

Conséquences directes Perte de la valeur des actions Pertes financières Pertes matérielles Poursuites judiciaires Conséquences indirects La confiance est tributaire de l’adoption de comportements qui respectent la conception partagée des règles éthiques. Un écart de conduite peut causer : Perte de la relation de confiance vis-à-vis de l’entreprise Risque de perte de l’harmonie vis-à-vis des parties prenantes : Médias Consommateurs Investisseurs Pouvoirs publics industrie 2. Quelle peut

Science, éthique et société Michel Juste 10/11/2009 Science, éthique et société. Objectifs : Comprendre le concept d’éthique. Faire le lien avec les notions philosophiques de base Distinguer conséquentialisme et non conséquentialisme. Savoir ce qu’est une démarche éthique. 1- Définitions et fondements de l’éthique Ethique, morale et déontologie. Philosopher c’est penser sa vie et vivre sa pensée : André Comte-Sponville. Rechercher la définition de l’éthique :

valeurs, grâce à la théorie des jeux et aux techniques de simulation6. Voir article L'Animal moral. Sam Harris7 et Richard Dawkins estiment que l'approche consistant à évaluer par les neurosciences le bien ou le mal plus ou moins grand d'un système éthique en mesurant la souffrance moyenne qui lui est associée pourrait constituer à terme une idée viable8, mais que nous en sommes pour le moment (en 2013) loin. Morale pour un groupe fixe[modifier | modifier le code] Il reste possible d'étudier les