A Cheval De Maupassant

LE MONSTRE ET NOUS. Objectif : amener les élèves à réfléchir sur la polysémie, l’évolution de la notion de monstre et notre propre fascination à son égard. Pour cela, faire des recherches sur :  Les bêtes. A titre d’exemples : V. Hugo Les travailleurs de la mer Livre IV chap. II « Le monstre » (présentation du kraken ; à compléter par le site Internet indiqué ci-dessous) http://www.ac-grenoble.fr/episdor/classes/exposes/bestiaire/kraken.htm Mamane Betty Les monstres des mers Science et vie junior

PREMIÈRE PARTIE Le Horla, Guy de Maupassant Extrait 1 (p. 8) Repérer et analyser 1. a. Le récit est mené à la première personne du singulier. b. La date mentionnée au début du texte est le 8 mai, date de la mort de Gustave Flaubert, grand ami du jeune Maupassant. La nouvelle se présente sous la forme d’un journal intime, destiné au seul narrateur. Jamais il n’évoque la possibilité de le montrer à quiconque. En fait, le véritable destinataire est le lecteur. c. Dans la mesure où le diariste relate

07/09/2009 HISTOIRE - GÉOGRAPHIE / LECTURES RECOMMANDEES " L'ignorance du passé ne se borne pas à nuire à la connaissance du présent ; elle compromet, dans le présent, l'action même ". MARC BLOCH Apologie pour l'Histoire ou métier d'historien »L’Histoire est un roman qui a été, le roman est une histoire qui aurait pu être. » Emile et Jules Goncourt. N'oubliez pas les romans : Pour sourire, - Driss Chraïbi, La Civilisation, ma mère, - M.Denuzières, Un Chien de saison, P. BEAUSSANT, Le

Guy de Maupassant : Madame Baptiste (1882) in Mademoiselle Fifi (1883). Quand j'entrai dans la salle des voyageurs de la gare de Loubain, mon premier regard fut pour l'horloge. J'avais à attendre deux heures dix minutes l'express de Paris. Je me sentis las soudain comme après dix lieues à pieds; puis je regardai autour de moi comme si j'allais découvrir sur les murs un moyen de tuer le temps; puis je ressortis et m'arrêtai devant la porte de la gare, l'esprit travaillé par le désir d'inventer

Guy de Maupassant : Madame Baptiste. Texte publié dans Gil Blas du 28 novembre 1882, sous la signature de Maufrigneuse, puis publié dans le recueil Mademoiselle Fifi. MADAME BAPTISTE Quand j'entrai dans la salle des voyageurs de la gare de Loubain, mon premier regard fut pour l'horloge. J'avais à attendre deux heures dix minutes l'express de Paris. Je me sentis las soudain comme après dix lieues à pieds; puis je regardai autour de moi comme si j'allais découvrir sur les murs un moyen de tuer le

Claire Fin du XIXème s - début du XXème  : La Belle Epoque chrononyme  : 2 mots qui désignent une période · commencent et s’arrêtent juste avant la Première Guerre Mondiale (1914)1989  : Révolution fr permet d’ouvrir à tous les œuvres, richesse nationale (appartient au peuple) 1800-1870  : Second Empire, règne de Napoléon 1870  : Guerre contre la Prusse perte du Second Empire : début de la Belle Epoque 1870/1914

s Exercices Exercice 1. Quatre textes, un thème : la ville Voici quatre textes relatifs à un même thème. Dans chacun d'entre eux repérez les caractéristiques qui permettent de dire à quel type de texte ils appartiennent. TEXTE 1 Si Paris à la fin du XVIIIe siècle est déjà une très grande agglomération, s'il y a du bruit, de l’agitation, des embarras dans les rues envahies par les carrosses, les cavaliers, les passants, les marchands qui crient leur marchandise, c'est encore une ville paisible

Biographie de Flaubert Gustave Flaubert est né à Rouen en décembre 1821. Fils de Chirurgien, il est de famille bourgeoise. Flaubert prend vite gout à la littérature. A 14ans, il lance au Collège un journal manuscrit Art et Progrès dont il est le rédacteur-copiste. L’année suivante, il a le coup de foudre pour Élisa Schlesinger, de dix ans son ainée, qui lui inspirera «L'éducation sentimentale». Il écrit cette année-là une dizaine de contes et nouvelles historiques, philosophiques ou fantastiques

GUY DE MAUPASSANT (1850 - 1893) LA MAIN (La Main a paru dans le Gaulois du 23 décembre 1883 puis dans Les Contes du Jour et de la Nuit en 1885) <!-- athena texte --> On faisait cercle autour de M. Bermutier, juge d'instruction qui donnait son avis sur l'affaire mystérieuse de Saint-Cloud. Depuis un mois, cet inexplicable crime affolait Paris. Personne n'y comprenait rien. M. Bermutier, debout, le dos à la cheminée, parlait, assemblait les preuves, discutait les diverses opinions, mais

bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales et traîne