À la claire fontaine

comme dans un discours ou un traité ou bien indirect, comme dans un apologue. Le fait de donner des leçons peut s’apparenter à ce genre littéraire car il faut réussir a convaincre et persuader son interlocuteur ou son lecteur en lui posant des arguments valables pour le faire changer d’avis. De plus, donner des leçons aux hommes permet de les aider, en leur donnant un modèle à suivre, pour ne pas les détourner d’un chemin précis. Seulement, d’autres genres littéraires tels que le théâtre ou la poésie

 Dossier : Les Bonnes de Jean Genet Mise en abyme : La mise en abyme c'est l'effet miroir. Elle consiste à répéter (parfois à l'infini) un élément à l'intérieur d'autres éléments similaires au premier, comme les poupées russes qui s’emboîtent et sont similaires entre elles. Ce peu être aussi un récit dans un autre récit ( Mille et une nuits ), ou bien un image dans une autre image ( Les Ménines de Diego Velasquez )... Dans le travail suivant ce sera du théâtre dans le théâtre.

La Fontaine, Fables, « Le Pouvoir des Fables » En quoi la fable de La Fontaine propose-t-elle une argumentation efficace ? Comment met-elle en œuvre une esthétique propre au XVIIème siècle ? [Introduction] Les chemins détournés sont parfois les meilleurs ; et quand ils ne le seraient pas, ils n’en présenteraient pas moins d’avantages. C’est ce que La Fontaine, renouvelant au XVIIème siècle le genre antique de la fable en mettant en vers celles héritées d’Esope et de Phèdre, avait bien

TEXTE 2 : LA FONTAINE Fables, « Les Animaux malades de la peste » 14.10.12 Introduction : 1) L’auteur : * Poète français du classicisme XVIIème siècle (1621-1695) sous la période de Louis XIV (1638-1715) * Dans la querelle des anciens et des modernes il est pour les anciens. Les modernes veulent revivifier le folklore français (inventer une nouvelle littérature française) et les anciens veulent s’inspirer des auteurs de l’Antiquité. 2) L’œuvre : * Il s’en tient au principe

-Scènes et personnages issus de textes bibliques; -Allégories glorifiant différents personnages.; -Portraits d’aristocrates Règles et techniques de ce mouvement ∙En Peinture : la composition du tableau est claire et ordonnée. ∙En littérature : auteurs cherchent à employer une langue claire et pure. Le principe de la règle des trois unités : action, temps, lieu. L’idée classique est aussi un idéal humain. L’Art des proportions et de la perspective: La symétrie et le respect des proportions sont

Le vieillard et les trois jeunes hommes Cette fable de Jean de la Fontaine est la huitième du livre XI située dans le second recueil des fables, éditée pour la première fois en 1678. Sur un ton qui n’exclut pas le lyrisme, le fabuliste dévoile dans ce livre sa philosophie de l’existence : importance de l’amitié, nécessité de conserver son indépendance d’esprit, goût pour la réflexion, confiance dans la Providence. Le titre de la fable met en relief un rapport de force déséquilibré et l’affrontement

divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. a) La prononciation de ‘purifier’ et de ‘supérieur’ exige une synérèse. V F b) Le vers 3 contient un [e] muet. V F c) Les rimes sont : - alternées - embrassées - plates 4) La rime ‘liqueur’ / ‘supérieur’ est : - masculine - féminine - pauvre - suffisante - riche 5) L’auteur de ce vers ‘J’ai disloqué ce grand niais d’alexandrin’ est : - Ronsard - La Fontaine - Hugo - Mallarmé - Eluard 6)

leurs sentiments. Ils emploient différentes tournures, des effets de style qui renforcent leurs sentiments afin de nous les communiquer de la façon la plus claire possible. Le document A est un poème extrait de « Fables » paru en 1668 écrit par Jean de La Fontaine et qui se nomme « Les deux Taureaux et une Grenouille ». De la Fontaine y emploie un effet de personnalisation, il donne aux animaux le don de parler et un statut social. Il utilise le registre tragique car dans sa fable, le peuple

Puis sur tes cornes m'élevant, A l'aide de cette machine, De ce lieu-ci je sortirai,

Jean de la Fontaine Préface, Fils d'un maître des Eaux et des forêts champenois dont il reprend la charge, écrivain français du 17éme siècles, il reste attaché jusque dans son œuvre aux décors champêtre de sa campagne. Il est reconnu par la cour est ses contemporains grâce à des contes licencieux (qu'il reniera à la fin de sa vie) et surtout à ses fables. C'est donc avant tout chose un grand fabuliste, qui s'adresse à un public élargi, responsabilité de pédagogue. Ses fables sont divisé en 12