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lyonnais où le n°30 des Gones fait figure inoubliable qui a tout connu, âge or et le déclin post-septuplé, mais aussi de leader. Un rôle impressionnant dans un effectif printanier révoquer de compagnie avec les absences, notamment, de Cris ou lisandro. vercoutre aura donc toute son gravité lors de la remonter de Rouge à gerland. Un critérium par quoi tel qui avait vu son expérience à strasbourg échouer lors de la saison 2004-05 aura vocation à "encadrer les jeunes" dixit Rémi garde, interviewer sur

vestiaire lyonnais où le n°30 des Gones fait figure fameux qui a tout connu, âge or et le déclin post-septuplé, mais aussi de leader. Un rôle important dans un effectif misérable privé de cadres avec les absences, notamment, de Cris ou lisandro. vercoutre aura donc toute son suffisance lors de la venue de Bordeaux à gerland. Un critérium durant quoi celui qui avait vu son événement à strasbourg échouer lors de la saison 2004-05 aura vocation à "encadrer les jeunes" dixit Rémi garde, interrogé sur le site

Commentaire de l’extrait de Victor Hugo, Les Misérables ,1862 Le texte présenté ici est un extrait de l’œuvre majeure de Victor Hugo Les misérables publiée en 1862. Ce roman propose une peinture sociale à partir de l’histoire de Cosette, enfant issue du peuple née dans le Paris du début du XIXe siècle. Les misérables est un roman réaliste proposant une peinture très précise de la France et en particulier de Paris du XIXe. Mais ce roman dépasse la description et condamne cette société aux inégalités

ÉTRANGERS Pondichéry SÉRIES GÉNÉRALES   Objet d'étude : La poésie. Texte A : Victor Hugo, « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). Texte B : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11, 9 (1869). Texte C : Tristan Corbière, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). Texte D : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887).  Texte A -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes

sujet des Misérables, ce n’est pas tellement les misérables. Il y a certes des dissertations sur les conditions sociales, les femmes (dont les hommes doivent protéger la pureté et empêcher qu’elles ne tombent dans la souillure), les enfants (à qui il faut apporter universellement la lumière de l’éducation), les pauvres (qui vivent dans des espaces malsains et sont affamés), les bagnards (qui ne sont pas traités de manière digne). Il y a même une action collective, avec l’émeute finale. Mais toutes les

d'abord aux questions suivantes (6 points) : 1. Dans les textes A, B, C, que dénonce chaque auteur à travers les trois personnages féminins ? Justifiez votre réponse. (3 points) La réponse à cette question doit être rédigée mais brève, de l'ordre d'une demi-page ou d'une page, au maximum. 2. Dans ces mêmes textes, montrez les différences de réaction de ces trois femmes face à l'adversité. Justifiez votre réponse. (3 points) La réponse à cette question doit être rédigée mais brève, de l'ordre d'une

Dissertation de français Introduction : Au fil du temps, les artistes ont dû se soumettre à un certain nombre de contraintes, et ceci dans tous les domaines. André Gide pose la thèse que « L’art naît de contrainte, vit de lutte, meurt de liberté » pour nous inviter à réfléchir sur la liberté, cette liberté qui peut être entraînerai la perte de cet Art ou, au contraire, qui donnerai un aspect nouveau, fascinant dans lequel l’artiste pourrai exposer tout son savoir-faire et ainsi captiver son admirateur

Texte XXVII Texte Texte Texte A : Victor Hugo, « J'aime I'araignee », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les reves », (1856). B : Lautreamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11,9 (1869). C : Tristan Corbiere, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). 0 : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887). Texte A - Victor Hugo (1802-1885), « J'aime I'araignee », Les Contemplations, XXVII (1856). J'aime I'araignee et j'aime I'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce

textes : le premier chant de l’œuvre « Art Poétique » a été écrit par Nicolas Boileau, le second est un extrait des Contemplations de Victor Hugo et le dernier est la « Lettre du Voyant » de la main d’Arthur Rimbaud, originalement adressée à Paul Demeny. Tous trois expriment une vision de la poésie bien particulière et personnelle. Nicolas Boileau à travers son poème nous communique sa vision de la poésie : c’est un art difficile, qui doit répondre à des exigences particulières. Selon lui, il faut prendre

Fantine, depuis la veille, avait vieilli de dix ans. - Jésus ! fit Marguerite, qu’est-ce que vous avez, Fantine ? - Je n’ai rien, répondit Fantine. Au contraire. Mon enfant ne mourra pas de cette affreuse maladie, faute de secours. Je suis contente. En parlant ainsi, elle montrait à la vieille fille deux napoléons qui brillaient sur la table. - Ah, Jésus Dieu ! dit Marguerite. Mais c’est fortune ! Où avez-vous eu ces louis d’or ? - Je les ai eu, répondit Fantine. En même temps, elle