Abstention Variables Sociologique

indicateurs vont dans le sens d’une crise avérée. Politisation : l’intérêt accordé aux actes de production du champ politique. Il n’y a pas de baisse de politisation. L’intérêt est stable, mais les citoyens sont de moins en moins satisfaits. Abstention : l’un des applicateurs favoris des crises de représentations. L’abstention est convoquée comme un indice d’un mal-être politique. Mais c’est un phénomène très complexe à mesurer. MUXUEL : « l’abstentionnisme est un véritable puzzle » Il y

Comment expliquer le comportement électoral ? Notion du pogramme : Participation et abstention électoral- variable lourdes du comportement électoral-vote sur enjeu. Notion complémentaire : Votalité électorale-vote de classe. I/ Quels sont les ressort de la participation électoral ? A/ Les principaux modèles explicatifs du vote. Variable lourdes du comportement électoral B/ La montée de la votalité électorale. Votalité

pas usage de leur droit de vote lors d’une élection donnée : on distingue et mesure le taux de participation électorale (rapport des électeurs inscrits qui ont voté sur l’ensemble des inscrits), et le taux d’ abstention électorale , ou abstentionnisme (nombre des électeurs inscrits non votants rapporté à l’ensemble des inscrits ; les électeurs mal inscrits qui ne votent pas sont de fait abstentionnistes)

électorale croissante ? Le terme « volatilité » est issu de la chimie, où il désigne la faculté dont jouissent certains corps solides ou liquides de se transformer en vapeur, en gaz. Appliqué aux comportements électoraux, il en indique le caractère variable, insaisissable, voire instable. La volatilité électorale n’est pas un concept de science politique à proprement parler ; c’est plutôt une expression péjorative qui désigne des électeurs mobiles, dont le vote est imprévisible. Cette notion de volatilité

citoyenneté européenne. Tout citoyen qui a la nationalité d’un des pays membres de l’UE peut, lors des élections municipales et européennes, voter et se présenter dans l’État membre où il réside. II) Les déterminants sociologiques du vote a) Les différents indicateurs sociologiques Depuis les années 70, on croit constater un changement profond dans les comportements électoraux : les électeurs voterait de moins en moins en fonction de présences politiques liées à leur socialisation primaire (enfance

du groupe. Dans ce chapitre nous allons voir en quoi le vote résulte d'une décision personnelle et à la fois influencer par l'environnement.I.COMMENT EXPLIQUER LA PARTICIPATION ELECTORALE ?A.comment la participation électorale est elle mesurée ?Abstention : comportement d'un électeur qui est inscrit sur les listes électorales mais qui décide de ne pas aller voter. L'abstention est mesurée à l'aide du taux d'abstention qui est le rapport entre le nombre d'abstentionnistes t le nombre

l'autre des trois approches suivantes. - Une approche sociologique. Des théories du comportement électoral ont très vite analysé les raisons sociologiques susceptibles de réduire la capacité des électeurs à participer aux élections. L'âge, l'entrée dans la vie professionnelle, la stabilité sociale et géographique se traduisent par une plus forte participation qui s'accroît avec l'âge au-delà du passage à la retraite. En France, cette théorie sociologique de l'abstention a été très prégnante, en particulier

Ex : élever des enfants Avec un regard sociologique sur le chômage, nous regarderons plus loin que cette définition. Toutes les études sociologiques débouchent sur des typologies pour mesurer l’impact. Etude de Lazarsfeld : Publié en France, Les chômeurs de Marienthal. Il va étudier, en 1931, 418 familles ouvrières (jouant un rôle politique très impressionnant). Il va faire des typologies de famille qui renvoient à des attitudes psycho sociologiques de vécus. Cette typologie est très connue

la crise de la démocratie Il n’y a pas simplement une manifestation de crise de la démocratie, mais 5 : 1. La montée et le développement des abstentions, votes blancs et nuls Ceux qui refusent de participer à ce moment essentiel, ou ceux qui se déplacent pour exprimer leur rejet de l’offre politique en votant blanc ou nul. Ces abstentions n’ont cessé de monter depuis 1970 jusqu’à nos jours. Et ce pour toutes les élections, quelque soit la série. La tendance est à une hausse de l’abstention

d’absentéisme en France : * * Elections européennes : * Date Abstention * 7 juin 2009 59,37% * 13 juin 2004 57,21% * 13 juin 1999 53,24% * 1994 47,29% * 1989 51,2% * 1984 43,28% * 1979 39,29% → On observe ici une hausse régulière du taux d’abstention, qui serait plutôt la marque d’un désintérêt de la population pour ce genre d’élections. Elections présidentielles : Année Date Abstention 2007 22 avril (premier tour) 16,22% 6 mai (second tour) 16,03%