Abstraction-Création

privilégier les volumes et le mouvement cubiste. En 1912, il écrit un traité sur le mouvement cubisme. Son œuvre la plus connue : Portrait de l'éditeur Eugène Figuière. Il fut aussi membre de la Société des artistes indépendants et fondateur de Abstraction-Création; un groupe collectif d'artistes qui promouvaient l'art abstrait. En 1875, il gagne le Grand Prix de Rome. L'œuvre qui sera analysée s'intitule Bords de la Marne, exposé au Musée des Beaux-arts de Lyon en 1909. Ce tableau n'est pas d'une

commence à sculpter partir de ce matériau de nombreux portraits de ses amis et des personnalités publiques comme Joséphine Baker. Pour la première fois, il expose ses œuvres à New York, puis à Paris et à Berlin. En 1930, il rejoint le groupe « Abstraction-Création » et se lance ainsi dans la sculpture en bronze, puis perfectionne ses recherches cinétiques par l' invention de « mobiles »(nom que leur donna Marcel Duchamp) en 1932. Il expose avec Arp, Miro et Seligman.Puis il passe, avec ses tôles peintes

et le Clavecin bien tempéré. Vers 1930, par suite de l'adhésion de nombreux maîtres français, Paris fut la capitale internationale du mouvement. Deux groupes y naquirent alors : Cercle et Carré, sous la direction de Michel Seuphor, puis Abstraction-Création, avec sa tête, Vantongerloo et Herbin. De bien nombreuses nationalités y étaient rassemblées : Kandinsky et Pevsner venaient tous deux de Russie, Moholy-Nagy de Hongrie, V.servranckx et G.Vanttongerloo de Belgique, Van Doesburg, Domela

Le Manifeste réaliste écrit en 1920 par le sculpteur Naum Gabo et cosigné par son frère Anton Pevsner est un texte-clé du Constructivisme. Ce manifeste expose leur théorie à propos de l'expression artistique. Il se concentre sur le divorce des formes artistiques des conventions telles que l'usage des lignes, de la couleur, des volumes et des masses. Ils pensaient aussi que l'art devait accompagner les humains dans tous les moments de leur vie : « sur l'établi, au bureau, au travail, au repos, lors

La querelle critique des années 1950 : Abstraction géométrique contre abstraction lyrique. La querelle critique dont nous allons débattre a lieu après la Seconde Guerre mondiale, en France et plus particulièrement à Paris, dans le monde de l'art abstrait. Je voudrais en premier lieu tenter de définir rapidement ce qu'est que l'abstraction. On considère habituellement l'aquarelle « sans titre » peinte par Kandinsky en 1910, comme la première oeuvre abstraite. L'apparition de l'art contemporain

Jean Hélion s’impose dans l’histoire de l’art moderne en fondant, avec Théo van Doesburg, Otto Carlsund et Léon Tutundjian, la première avant-garde française vouée à un art radicalement abstrait (Art concret), qui devient en 1931 le mouvement Abstraction-Création, dissout en 1936. Mais c’est à partir de ces années qu’Hélion évolue de plus en plus vers une figuration aux formes simplifiées et enfin vers une peinture résolument figurative. Il a également publié d’importants articles et préfaces, récit

construire des figures géométriques. Alors que ces dernières, dans le premier cycle, sont essentiellement axées sur l’observation et la représentation des objets. On définit une figure géométrique comme étant une représentation par le dessin d’une abstraction géométrique, constituée généralement par des points, des lignes accompagnées de symboles. Et nous entendons par problème l’ensemble des difficultés rencontrées par les élèves dans la construction de figures géométriques. Vu les difficultésrencontrées

I. Première strophe. • Dédoublement du poète qui fait de sa douleur une entité à part entière, personnifiée par : - la majuscule : Douleur - la relation étroite qu’il entretient avec sa douleur :Ô, tu... La progression ascendante du rythme renforce l’idée d’impatience flagrante de la Douleur. • Promesse d’un apaisement se traduisant par des vers ternaires, plus équilibrés et qui confèrent aux vers un certain équilibre. • On se trouve dans un paysage urbain cher à Baudelaire

du néoplasticisme. Il commence par créer des paysages réalistes avant d’évoluer vers l’abstraction. Dès ses débuts, il a un goût prononcé pour la structure linéaire et l'opposition rigoureuse de l'horizontal et du vertical. Il se livre à des abstractions et dépasse même l'abstraction pour finir à une juxtaposition de lignes et de couleurs sans aucun rappel de la réalité. Ces lignes deviendront des verticales et des horizontales. Les couleurs se limiteront aux trois fondamentales, le rouge, le jaune

 Kandinsky s’imprègne plus  particulièrement de l’impressionisme et de la musique romantique de Wagner.   Il défendait l’idée que le monde des formes et des couleurs jaillit des profondeurs de  l’âme comme le monde des sons, c’est pour cela qu’est appelé abstraction lyrique  l’oeuvre de Kandinsky.​  Il affirmait que lorsqu’il voyait des couleurs, il entendait des  sons.   Le but de la peinture telle qu’il la définit est “de trouver la vie, de rendre perceptibles ses  pulsations, d’établir les lois qui les régissent”