Accept

« Aimer un être, c’est accepter de vieillir avec lui » Etes-vous d’accord avec cette affirmation de Camus ? Au fil du temps le verbe « aimer » a perdu toute sa valeur. A notre époque, nous l’employions à toutes les sauces, pour des objets, des animaux, ou encore des êtres. Nous l’utilisons aussi pour dire que nous portons de l’affection, de la tendresse ou de la passion. Pouvons-nous dire que ce verbe si utiliser a-t-il encore le même sens qu’au temps de nos grands-parents ? Dans la vie, rien

pouvoir du tyran n'est jamais que celui qu'on lui accorde. Cela voudrait-il dire qu'un peuple accepte les abus de pouvoir tant qu'il se trouve dans une sécurité minimale? Accepter la tyrannie, n'est-ce pas renoncer à la liberté? On pourrait ainsi estimer qu'aucune légitimité n'est requise à l'exercice du pouvoir. Pourtant, cette justification n'est-elle pas indispensable pour que ce pouvoir puisse être accepté? Si le pourvoir n'est qu'une domination sourde et tyrannique, n'est-il alors pas juste de

lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics. 3/ La stratégie de la dégradation Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement

Germain ne peut se consoler de la mort de sa femme qui l'a laissé seul avec trois enfants. Son beau-père, auprès de qui il vis, lui conseille de ne plus pleurer et de se remarier. Germain accepte, pour le bien de ses enfants. Une veuve d'une région voisine cherche à se remarier, et le beau père la lui conseille (elle a le même prénom que feu sa femme). Germain part lui rendre visite accompagné par Marie, une jeune voisine dont on lui a confié la tâche de l’emmener dans une ferme où elle doit travailler

des provisions. Malgré une réticence manifeste, ses compagnons de voyage finissent par accepter de partager les vivres que leur propose la prostituée. La diligence s’arrête à Tôtes où un officier prussien demande à voir Boule de suif et ordonne l’immobilisation de la diligence jusqu’à ce qu’elle accepte ses avances. Elle refuse d’abord puis, poussée et encouragée par les autres, pressés de repartir, elle accepte et se donne en sacrifice. De retour dans la diligence qui peut repartir, ceux qui grâce

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publié en 1671. Dans cette pièce Racine, a mentionnait seulement que Titus avait renvoyé Bérénice, lorsqu'il était devenu empereur, "oubliant" une première rupture imposée cette fois par Vespasien à un Titus encore jeune homme, et débauché... Racine accepte cette version d'un couple exemplaire, contraint à la séparation par la Raison d'État. Racine fait de Titus un empereur déjà parfait, qui prend la décision de la séparation dans une volonté encore plus grande de perfection. Il montre "les ultimes douleurs

non, de ce fait, cela à des conséquences plus ou moins visibles sur notre société.D’autre part, la notion de tolérance est plus difficile à définir étant donné qu’il s’agit d’une notion de relations humaines. On ne peut pas dire que tolérer c’est accepter l’opinion des autres comme laplupart des gens peuvent penser car lorsqu’on est tolérant avec l’opinion de quelqu’un, cela ne veut pas dire qu’on l’accepte personnellement. Finalement, on peut dire que tolérer c’est ne pascritiquer ou même nier l’opinion

il a des forces actives : il utilise la logique du «oui» pour réaliser ses actes, il accepte de participer à l’expérimentation, il est différent, il se distingue et on peut voir qu’il est fier de lui. En se basant sur Nietzsche, on peut dire qu’Alex dépasse le nihilisme. Il dit «oui» à la vie, crée son propre sens et ne fuit pas la douleur, etc. Le fait qu’il ne fuit pas la douleur, on le voit lorsqu’il accepte d’essayer la thérapie par aversion afin de sortir de prison (traitement fondé sur des

dans les 15 jours dans le cas contraire. 2° Le maître d’œuvre accepte ou modifie le projet de décompte final qui devient alors le décompte final. 3° Le maître d’œuvre établit le projet de décompte général qui comprend notamment le décompte final. 4° La personne publique accepte ou modifie le projet de décompte général qui devient alors le décompte général notifié par ordre de service au titulaire. 5° Le titulaire doit accepter le décompte général qui devient alors le fameux décompte général