Accords de Triparadisos

affaires hellénistiques Will conclue cette partie en nous disant que l'unité de l'empire d'Alexandre était possible en théorie, mais impossible à réaliser car il n'était pas un État mais une création artificielle. La mort de Perdiccas et les accords de Triparadisos ont scellé le sort de l'unité de l'empire. La seconde partie de l'article, intitulée The period of Antigonus Monophtalmus, évoque l'ascension d'Antigone le borgne et sa chute, en 301. C'est dans un contexte de luttes entre les diadoques

Dans quelles mesures les affrontements militaires successifs entre diadoques conduisent-ils à l’éclatement de l’Empire au profit de pouvoirs personnels de plus en plus affirmés ? I/ La survivance de l’Empire de la mort d’Alexandre au partage de Triparadisos (323 – 321 BC) A. Le partage de Babylone en 323 BC et sa contestation  Alexandre est mort brutalement, sans avoir organisé sa succession. Il y a deux héritiers légitimes : Philippe III Arrhidée, demi-frère d’Alexandre et le futur Alexandre

peltastaì) et une cavalerie (basilikaì ĩlai), recrutées dans l'ensemble de la Macédoine, d'autre part, une importante réserve mobilisée sur une base territoriale, selon les besoins. Les mercenaires étaient engagés personnellement par les rois, par des accords internationaux qu'ils pouvaient conclure en tant que seuls représentants de l'État habilités à conduire les relations avec les puissances étrangères. L'armée était sous le commandement de généraux (strategoi) et fréquemment divisée en divisions

s'associe aux autre vs lui, et il se fait assassiné par ses membres d'états majeurs, après une histoire de détournement de la dépouille mortelle d'Alexandre. Il n'y a plus de responsable de l’Asie, donc nouveau partage. C'est le partage dit de triparadisos (des 3 jardins) : Antipater devient épimélète : surveillant des rois en macédoine, Seleucos reçoit la Babylone et Antigone retrouve ses satrapie. Il n'y a plus de chef de l'asie, sont plus autonome. L'époque d'Antigone le Borgne (321-301)

ce pouvoir héréditaire, car il semble régner en l’absence de son père. Il convoque l’assemblée (Od, I, 272), siège sur le trône d’Ulysse ( Od, II, 14) et il empoigne le sceptre avant de parler (Od, II, 37). Et l’Assemblée ne l’aide pas et ne lui accorde pas de navire. Mais il est fragile, instable, comme le montrent les intrigues des prétendants de Pénélope [raconter qu’ils essaient même de tuer Télémaque], ou Hector déplorant que son fils soit obligé d’aller mendier auprès des anciens compagnons