Accords Sykes-Picot

un foyer juif en Palestine. L’extrait soulève notamment la présence de non-juif sur le territoire palestinien et souligne l’intérêt que porte la GB à la région. Document 2 : Le second document est une carte résumant les décisions des accords secrets de Sykes-Picot prévoyant le futur découpage du MO à la fin de la PGM. Cette carte nous montre que la France et la GB se sont projetés sur le partage de l’empire Ottoman DEV : Au début du XXe siècle, ce sont les puissances européennes qui dominent

la couronne en Egypte) pour demander leur aide en vue d’atteindre une plus grande autonomie du Hedjaz. La couronne britannique choisie la non-ingérence dans les affaires turques. - 2 août : L’empire Ottoman rentre en guerre au côté des allemands (accord secret Germano-turc contre la Russie). - Décembre : la Grande-Bretagne proclame l’instauration de son protectorat en Egypte 1915 - Echec allié dans les Dardanelles  relance des relations par Mc MAHON (successeur de Kitchener) avec Hussein.

Syrie et en Palestine devant l’insurrection menée par le Chérif de La Mecque soutenu par les Britanniques. Ces derniers offrent à Hussein la perspective d’un grand royaume arabe indépendant, libéré du joug turc. L’Entente prévoit aux termes des accords Sykes-Picot de 1916 de diviser les provinces arabes de l’Empire ottoman et d’y établir des zones d’influences. -Avec la révolution russe et la défection de l’armée tsariste dans le Caucase, l’Empire ottoman entrevoit la perspective d’une reconquête des

forte influence anglaise : les revendications arabes correspondent aux ambitions Britanniques exprimées lors des accords Sykes-Picot de 1916. Une piste d’explication réside dans l’amitié entretenue par Faysal et l’officier Britannique T.E Lawrence, dit « Lawrence d’Arabie ». Enfin, on note que Faysal ne tient aucun compte des volontés françaises exprimées dans les accords Sykes-Picot. En effet, la France voulait un contrôle en Syrie, or, Faysal déclare : « nous croyons que la Syrie […] est suffisamment

des liens occ // par Angleterre Une convoitise ac essor auto. Casi contrôle du petrole en 1909 de l'iran ac « anglo-persion company » et en 1912 ¾ du petrole ac « turkish petroleum company ». renforcé par 1GM Mossoul malgré promis a fr ac accords Sykes-picot 1916. turquie proteste cette annex0 mais SDN confirme act bri en 25 par EU compagnies occ ac importance d'influence à travers le % de particip au capital. Influence politique en 53 car 1er mini iran Mossadegh renversé car opposait aux compagnies

hypocrisie de la part de la France et de l’Angleterre, les territoires arabes récemment libérés de la domination ottomane sont également autorisés à envoyer des délégués pour présenter leurs doléances. Pour sa part, déterminé à ne pas voir les accords Sykes-Picot appliqués, le chérif Hussein, désormais roi du Hedjaz, choisit son fils Fayçal pour représenter les Arabes à la conférence de Paris et plaider leur cause, c’est-à-dire concrétiser leur rêve d’indépendance. De son côté, le représentant britannique

d’Indépendance turque menée par Gazi Mustafa Kemal et sa victoire institutionnalisée par le Traité de Lausanne de 1923, le peuple kurde doit désormais vivre partagé entre la Turquie, l’URSS, la Perse et deux Etats créés ex-nihilo découlant des accords Sykes-Picot de 1916: la Syrie sous mandat français et l’Irak sous mandat britannique. Or, un sentiment national kurde avait commencé à éclore dès le XIXème siècle, sentiment fondé sur l’oppression et l’exclusion dont ils faisaient l’objet et ce dans le

dans la province arabe de l’Empire ottoman. En effet, ils possèdent dans cette province de nombreux intérêts économiques, culturels et religieux, et souhaitent transformer leurs zones d’influences en possessions territoriales.En 1916, les accords Sykes-Picot sont signés, découpant ainsi la province arabe de l’Empire ottoman entre les Britanniques et les Français. Le 7 octobre 1918 une division navale française débarque à Beyrouth. b) Le mandat français

enjeu majeur, aux yeux des puissances européennes d’abord, mais aussi parce le nationalisme turc attise les revendications arabes (I.) ; durant les années 1915-1916, la Grande-Bretagne joue un double jeu, entre les promesses faites aux Arabes et les accords conclus avec la France (II.) ; enfin, de 1917 à 1921, le Moyen-Orient ne peut plus repousser sa défaite face au jeu diplomatique des puissances, qui se déroule à son insu (III.). Conclusion A la fin du conflit, la carte du Moyen-Orient

du haut-commissaire britannique Henry McMahon au chérif Hussein de La Mecque leur promettant la création d’un royaume unifié, les Arabes assisteront, impuissants, à la trahison de ces engagements. Lesquels seront bafoués aussi bien par les accords Sykes-Picot (1916) partageant la région entre la France et le Royaume-Uni que par la déclaration Balfour (1917) annonçant la création d’un « foyer national juif » en Palestine. Sous mandat français, la Syrie fut d’abord morcelée en quatre Etats, avant