Achat Complexe Ou Extensif

agricole est la façon dont les hommes tirent partie des ressources du sol. La solution qu’ils ont adoptée a des conséquences sur le peuplement. (Ex : élevage extensif = faible densité ; culture maraîchère = forte densité soit 1000 a 2000 hab. /Km². Campagnes françaises avec 40hab/Km² ; agriculture sur brûlis 10hab/Km² et l’élevage extensif américain 1hab/Km².) * Les civilisations industrielles : ont eu à partir des 19ième siècles une fortes concentration urbaine et crée des régions de fortes

légaux des dirigeants de la S.A. Section I : contenue des pouvoirs légaux Paragraphe I : la gestion de la S.A. A. La S.A. à conseil d’administration B. La S.A. à directoire et à conseil de surveillance Paragraphe II : les limites du contenu extensif des pouvoirs légaux A. Les limites tenantes à la spécialité légale de la S.A. B. les limites tenantes aux pouvoirs de l’assemblée d’associés. Section I : la règle de l’inopposabilité Paragraphe I : l’inopposabilité et la situation de la société

l’origine de la dégradation de la forêt. b. L’élevage : activité prépondérante La colonisation privée se tourna à la fois vers les cultures de plantation comme le poivre, le cacao, l’huile de palme...et vers l’élevage bovin extensif qui prit le pas sur les cultures. Dès les années 70, l’élevage devient une activité prépondérante. Si l’agriculture vivrière est aux mains de petits propriétaires terriens, l’élevage est aux mains de grands propriétaires. Certes, le prix de la terre

l’acheteur arrête sa décision) devient extensif et peut être résumé par le schéma (figure 2). Les processus d’achat extensifs se caractérisent par : une recherche très active d’informations, l’absence de préférence nette pour une marque, des critères de choix non totalement arrêtés, des images de marque et des attitudes à construire. Suite à un premier achat jugé satisfaisant, le consommateur va tenter de se simplifier la vie, soit en répétant purement et simplement son achat, il suit alors un processus routinier

carences de l’organisation et de la gestion des entreprises, caractérisent l’évolution de cette industrie. Les faibles taux de croissance de la productivité et des taux de valeur ajoutée sur une longue période traduisent une croissance de type extensif et témoignent des difficultés auxquelles sont confrontées les industries alimentaires (IA) pour réaliser une mutation devant induire des changements importants au niveau de la fonction de production et un approfondissement de l’industrialisation

D’auto-expression Mais attention lors d’un processus d’achat le consommateur est guidé par des pulsions positives (motivations) mais également des pulsions négatives ce sont les freins (comme les inhibitions et les peurs) Pour faire basculer un individu du non achat dans l’achat, on peut Renforcer ses motivations …Ou/et Relâcher ses freins 3 Perception D’un point de vue marketing les individus ont des perceptions sur la présence des attributs dans les marques. Ces perceptions peuvent s’appuyer sur l’expérience

fragilité due aux difficultés de la sphère productive, depuis les années 70 : hypertrophie croissance de la sphère périproductive & étiolement de la production. Il y a donc une crise de la sphère de production concrète. 2 facteurs : modèle de croissance extensif des 30 Glorieuses (système taylorien), insertion dans la construction européenne et la mondialisation : restructuration et redéploiement du capital financier et industriel. Cet affaiblissement fragilise l’ensemble du système productif national.

la “ lady supermarket incarne de manière caricaturale l’Américaine de la Middle class ( Bigoudis , elle fume , caddie : éléments nouveaux symbolysant superflu et profusion : pâtes = révolution de l’emballage et utilisation de materiaux de pointe , achats pour les animaux etc ... ) I/ UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE EXCEPTIONNELLE A/ Ampleur et régularité du développement économique 1/ Une expansion généralisée -Fin des années 1940 / début des années 60 : Croissance moyenne du PIB d’environ 5% par

services à une organisation. Ce qui est différent ici : une seule personne prends des décisions pour toute une partie de l'entreprise = décisions plus rationnelles. Différences par rapport au marketing classique (B to C) : - grande rationalité des achats - montant plus élevé des transactions - contacts plus personnalisés C-Marketing des services Qu'est-ce qu'un service ? Assurance, coupe de cheveux, service d'hôtellerie, la plupart du temps il s’agit de biens intangibles, mais aujourd'hui il

fonction logistique © G ro up e Ey ro lle s L’exigence est forte car cela signifie que les responsables logisti- ques doivent dialoguer avec des partenaires externes (les four- nisseurs, leurs sous-traitants le cas échéant) et internes (le service achats, la production), sans renoncer à la cohérence glo- bale du dispositif dont ils ont la charge. Les enjeux et la complexité de la gestion des approvisionne- ments sont accrus par deux phénomènes, en fort essor depuis dix ans : ◗ le développement de