Acte 3 Scene 3 Tartuffe Conclusion

tout «drôles» comme le seront celles de Molière. Les amoureux se marieront, et souvent les serviteurs aussi. Notre regard ne les suivra pas plus loin; cette convention ne signifie nullement que la comédie «croit» au mariage, dont souvent elle se moque(3). Ce n'est pas parce qu'ils «seront» heureux qu'on se réjouit à la fin de la comédie, mais parce que dans la comédie le bonheur se définit, d'une manière aussi limitée que figée, par le mariage des amoureux, qui sert à rendre heureux non les amoureux

de l’honnête homme, Molière devient célèbre pour ses comédies de caractères ou il traite de diverses obsessions à travers ses personnages principaux. L’avarice, le libertinage amoureux, l’idée de sincérité, nombreuses sont les obsessions mises en scène par Molière. Par la satire et les portraits de protagonistes obsessifs, Molière ne cherche plus seulement à plaire mais aussi à instruire: ainsi il reprend le flambeau des classiques qu’on appelle le “Placere Docere”. Observons à cet

Lorenzaccio. Mais parfois il faut approfondir la signification de l'oeuvre pour découvrir l'empreinte du vécu de l'auteur. Molière par exemple n'est ni Arnolphe, ni Alceste, ni Argan I, mais dans chacun de ces personnages, qu'il incarnait d'ailleurs sur scène, il y a tel ou tel aspect de sa personnalité. La Plaisanterie de Milan Kundera retrace les souffrances d'un jeune Tchèque qui n'est pas sans ressemblance avec l'auteur lui-même confronté aux abus d'un régime totalitaire. Les exemples d'implications

Marivaux, L’île des esclaves. Lecture analytique. Scène 1 1-La pièce est très courte, un seul acte, d’où la nécessité d’une exposition rapide. Pour Marivaux , qui est encore dans un contexte où la représentation théâtrale est mouvementée : on n’éteint pas les lumières, on vient au théâtre pour voir comme pour être vu ; l’exposition doit informer, certes, mais aussi souvent, surprendre afin de capter d’emblée l’attention d’un spectateur indocile. 2-Marivaux écrit en général pour la troupe des Italiens

lecture expliquée n° 6 acte II, sc.5 tirade de M. DiafoirusLecture expliquée n°7 : Le Malade imaginaire, acte II, sc. 5 (la tirade de Monsieur Diafoirus ) Eléments d’introduction : Présentation de Molière et de son apport à la comédie -> renouvellement de la comédie, qu’il veut élever au rang de la tragédie. Son ambition : « corriger les moeurs par le rire » ( cf Premier placet sur Tartuffe ) ; son ambition est donc à la fois de divertir le spectateur en peignant la société de son temps

Acte I, scène1 : une scène d’exposition. Problématique : En quoi cette scène est-elle une scène d’exposition efficace et originale? Les objectifs du dramaturge : 1. Informer de ce qui s’est produit auparavant  principe de la double énonciation. Sur scène, des personnages dialoguent et n’ont pas l’air de s’occuper de nous ! En fait, leur discours s’adresse au spectateur. Pour que la scène d’exposition soit réussie, il faut que le spectateur soit vite informé, sans pour autant avoir l’impression

la rue Notre- Antigone d'Anouilh : analyse du prologue Dame-de-Lorette », le lecteur sait dès le quatrième paragraphe que l’action se déroule à Paris. La date est également indiquée de manière très précise : « on était au 28 juin ». Tartuffe, Molière : résumé Le moment de la journée peut se déduire : le lecteur arrive « in media res », alors que l’action est commencée, après un repas (déjeuner ou dîner). B – Le contexte narratif La courbe de tes yeux : lecture analytique

nuances celui formé par Sganarelle et Don Juan. L’entreprise de séduction que mène Valmont est constamment secondée par son fidèle serviteur, qui apparaît ici comme le double burlesque du vicomte. - Les quiproquo : Dans le roman, le narrateur met en scène la naïveté de certains personnages à travers les quiproquo. Le premier concerne bien évidemment Cécile (Lettre 1) qui confond un simple cordonnier avec un homme du monde, celui qui s’apprête à devenir son mari. Mais, ne peut-on pas qualifier de quiproquo

tous les comparses dans : _________________________________________________________________________________ ‘’Mémoires’’ (1773-1774) Quatre libelles Beaumarchais dénonçait les pratiques sordides et cyniques de la magistrature et mettait en scène, avec une spirituelle férocité, le ménage Goëzman et ses partisans, milieu d'ailleurs extrêmement corrompu. Au fur el à mesure des publications, le ton monta, et Beaumarchais, gagnant de l'audace, osa s'attaquer fort ouvertement à toutes sortes de

indiquer de temps à autre que la vérité n’est nullement où l’on avait cru généralement la trouver jusqu’ici, et que L’HISTOIRE DE MOLIERE EST TOUT ENTIERE A REFAIRE. » Anatole Loquin, Molière à Bordeaux et ses fins dernières à Paris, 1896, T. II, p. 538. 3- La spécificité de Molière. Une évidence s’impose quand on étudie la vie et la carrière de Molière : celles-ci sont remplies d’obscurités et de contradictions qui, pour le moins, incitent à une suspicion qui augmente dès que l’on cherche à comprendre