Acte De Langage Performatif Constatif

(p.1) 2 2. Langue, Dialecte, Pidgin, Créole et Frontières linguistiques (p.17) 10 3. Ferdinand de Saussure (1857-1913) (p.39) 16 4. La révolution chomskyenne (p.49) 20 5. La typologie et la grammaire fonctionnelle (p.69) 27 6. Les philosophes du langage : Austin, Searle et Grice (p.90) 38 7. L’analyse conversationnelle (p. 105) 44 8. L’interprétation des phrases : la phrase négative et l’ironie (p.117) 48 9. Le sens des mots (p. 129) 53 10. Aspects neurolinguistiques (p. 151) 59 11. Conclusions générales

LANGAGE ET COMMUNICATION INTRODUCTION L'information et la communication sont deux phénomènes distincts et complémentaires. Étude de cas 1  : « Quelle heure est-il ? » ← Demande d’information « 8h30 » ← Réponse attendue L'information est un donnée que l’on possède ou non et que l’on cherche à obtenir, que l’on donne ou que l’on retient, que l’on achète, que l’on vend et que l’on peut voler. L’information apparaît comme une sorte d’objet mais ce dernier est extérieur et objectif

apprend à dire « je » ; dans les premiers moments de sa vie, l’enfant croit encore être le prolongement de sa mère. L’enfant va se considérer comme un objet parmi les objets et prend petit à petit conscience de son corps. Puis, l’enfant acquiert le langage, il parle ensuite de lui à la troisième personne. C’est dès lors que l’enfant dis « je » qu’il prend conscience de lui-même. Pour se connaitre, il faut donc avoir conscience de soi. Mais cette conscience n’est pas suffisante. La connaissance va devoir

Médias, Espace, Société LABORATOIRE CELTED Comment se dispute-t-on ? La gestion des disputes dans le théâtre de Bernard-Marie Koltès THÈSE présentée et soutenue publiquement le 03 décembre 2011 pour l’obtention du DOCTORAT EN SCIENCES DU LANGAGE de l’Université Paul Verlaine – Metz par Adrianna NARUK Thèse dirigée par le professeur André PETITJEAN Jury : Professeur Jean-Paul DUFIET, Université de Trente, Italie Professeur Laurent PERRIN, Université Paul Verlaine, Metz Professeur

Le langage Introduction 1 I. Le langage est-il le propre de l’homme ? 1 A. Typologie des « signes » 2 B. L’arbitraire du signe 2 C. La double articulation du langage 2 D. Réaction et représentation 3 1. Le langage animal est un automatisme sensori-moteur 3 2. Le langage humain est représentatif et suppose la pensée 4 II. Langage et pensée 5 A. Peut-on penser sans langage ? 5 1. La pensée préexiste au langage 5 2. Pensée et langage sont indissociables

Le langage Introduction Qu’est-ce que le langage ? Réponse facile : Un moyen de communiquer, aussi bien les pensées que les sentiments. En ce sens, les animaux ont un langage, car eux aussi sont capables de communiquer, au moins dans une certaine mesure. Voici donc une première question : le langage humain est-il essentiellement différent du langage animal, ou est-il au fond la même chose ? Pour répondre à cette question, il faut se pencher de plus près sur le langage pour comprendre la différence

langageLe langage Introduction...............................................................................................................................1 I. Le langage est-il le propre de l’homme ?..............................................................................1 A. Typologie des « signes »..............................................................................................................2 B. L’arbitraire du signe.....................................................

les grandes théories du Droit au XXème siècle (Kelsen, Ross). La philosophie du langage occupe une place centrale dans la philosophie analytique. II – Présentation simple de la philosophie analytique Elle se présente comme une rupture, une révolution (Fregue et Russel) marquées par le passage d’une philosophie centrée sur le sujet et la conscience (le cogito : Descartes) vers une philosophie centrée sur le langage comme un ensemble de signes externes à la conscience, appréhendables de façon publique :

nominalisés, comme l'atteste l'équivalence des deux expressions : « se soucier de soi(-même) » et «le souci de soi ». Le glissement d'une expression à l'autre se recommande de la permission grammaticale selon laquelle n'importe quel élément du langage peut être nominalisé : ne dit-on pas « le boire », « le beau », « le bel aujourd'hui » ? C'est en vertu de la même permission grammaticale que l'on peut dire « le soi », alignant ainsi cette expression sur les formes également nominaiisées des

| |Compétence : connaissance que le |Performance : emploi effectif |Langue : côté social |Parole : côté individuel du | |locuteur-auditeur (idéal) a de sa |de la langue, par un sujet |(conventionnel) du langage : |langage. | |langue (lexique, syntaxe, |parlant donné, dans des |trésor collectif. | | |phonologie, sémantique). |situations concrètes.