Actes des Apôtres

les chrétiens ont également été encouragés à prendre soin de ceux qui accomplissaient des services particuliers en leur faveur. Le récit de 3 Jean 5-8 nous donne une idée de l’amour qui unissait étroitement les premiers chrétiens. 12 Le vieil apôtre Jean appréciait grandement la bonté et l’hospitalité dont Gaïus avait fait preuve à l’égard de certains frères itinérants envoyés pour visiter la congrégation. Ces frères au nombre desquels se trouvait Démétrius, le probable porteur de l’épître, étaient

" Baptême de Jésus ", peint par Gaudienzo Ferrari (mort en 1546). Lieu : Eglise Saint-Nicolas-des-Champs (paris IIIème arrondissement) La cène La Cène est le nom donné par les chrétiens au dernier repas que Jésus-Christ prit avec les douze apôtres le soir du Jeudi saint, avant la Pâque juive, peu de temps avant son arrestation, la veille de sa crucifixion (appelée encore Passion par les chrétiens), et trois jours avant sa résurrection La cène Leonard de Vinci (1452-1519) Milan Le mont

crispée sur le dossier de la chaise. On peut ne pas appeler ça superstition, mais réflexes, traditions ou déviation de la religion (le bois, c’est celui de la croix du Christ). Le Petit Robert : « La superstition, c’est le fait de croire que certains actes, certains signes, entraînent des conséquences bonnes ou mauvaises. » On veille, par exemple, à ne jamais mettre le pain à l’envers sur la table (32%) du temps où il y avait encore des bourreaux, les boulangers leur mettaient leur guignon de pain

respect” pour lui (Éphésiens 5:22, 33). Même si son mari n’est pas croyant, elle doit lui ‘être soumise’. (1 Pierre 3:1.) La chrétienne manifeste cette soumission en soutenant les décisions de son mari tant qu’elles ne se heurtent pas aux lois divines (Actes 5:29). Pourquoi accepte-t-elle ce rôle? Non seulement parce qu’elle aime son mari, mais surtout parce qu’elle reconnaît qu’agir ainsi “convient dans le Seigneur”, c’est-à-dire est conforme à l’ordre des choses prévu par Dieu pour la famille (Colossiens

ans près de 33 000 confessions différentes3. Les premières de ces confessions sont apparues au sein du judaïsme après la crucifixion de Jésus de Nazareth par les autorités romaines de la province de Judée au ier siècle4. Les Actes des Apôtres indiquent que le nom de « chrétien », signifiant « appartenant au Christ » ou « partisan du Christ », fut attribué aux disciples de Jésus de Nazareth à Antioche au milieu du ier siècle5. La référence la plus ancienne connue pour le terme christianisme se trouve

société d’ordres. ( Document 1 : la DDHC, voir manuel et/ou internet ) ( Document 2 : Le projet d’un pamphlétaire royaliste L’écrivain Antoine de Rivarol publie cet article dans le journal satirique royaliste « Les Actes des Apôtres  » Messieurs, se serait en vain que vous auriez changé les mœurs de la nation et de l’univers entier, l’œuvre est incomplète et il est de votre sagesse, ainsi que de votre gloire, de l’achever par un décret qui régénère le monde physique et le

"passer le relais", avec ses propres disciples. Il est mort décapité, sur demande d'Hérodiade, femme du gouverneur Hérode Antipas, lequel jugera également Jésus quelques temps plus tard. Jean-Baptiste est connu à travers les Evangiles, certains Actes des Apôtres et par le témoignage historique de Flavius Josèphe, concernant notamment sa mort. Certains détails de sa vie sont tirés de l'Evangile selon St Luc, d'autres des Evangiles apocryphes. Jean-Baptiste est né en Judée, en 8 av. J.-C. (la date de

l'explique le Bon : « Évanouissement de la personnalité consciente, prédominance de la personnalité inconsciente, orientation par voie de suggestion et de contagion des sentiments et des idées dans un même sens, tendance à transformer immédiatement en actes les idées suggérées, tels sont les principaux caractères de l'individu en foule. Il n'est plus lui-même, il est devenu un automate que sa volonté ne guide plus. » L'aspect violent de la foule ressort clairement dans le livre. En effet, l'auteur dit

deux apôtres auraient pu faire un autre choix et qu'ils étaient donc responsables de leurs actes. C'est cette responsabilité que montre Kant dans son texte "La morale suppose le libre arbitre", extrait de son ouvrage Critique de la Raison Pure publié en 1781. D'après sa définition, le libre arbitre est la capacité que

relater la visite des Mages à Bethléem), Matthieu le publicain du Collège des douze apôtres, écrivit le premier en Palestine, pour les chrétiens convertis du Judaïsme. Cet ouvrage fut écrit en langue Hébraïque, c'est-à-dire en ARAMEEN, la langue du Christ, pour être ensuite traduit en grec. En fait ces EVANGILES semblent être dérivés d’une prédication orale qui remonte aux débuts de la communauté primitive. Ni les apôtres, ni les autres narrateurs évangéliques ne cherchèrent à faire de « l’HISTOIRE »