Actionnaire

»société anonyme à directoire et à conseil de surveillance ». Gestion classique (SA à Conseil d’administration) : • Désignation des organes de gestion - l'Assemblée Générale des actionnaires (A.G) désigne les administrateurs trois (3) au moins douze (12) au plus ou encore quinze (15) « parmi les actionnaires» si la société est inscrite à la Bourse Ils constituent le conseil d'administration qui élit son président, fixe ses pouvoirs. Il peut le révoquer à tout moment. Les membres du conseil

Activités de spécialités 33 — Perspectives 2012 Michelin au PluS PRÈS De SeS acTionnaiReS 36 — La vie du titre 37 — Capital et actionnariat 38 — Données boursières 39 — Données par action 40 — Une équipe de spécialistes 42 — Les modes de détention 43 — Le nominatif pur : modalités 44 — Les ordres de bourse au nominatif pur 46 — Les frais 47 — Les donations et successions 48 — La fiscalité 50 — À la rencontre de nos actionnaires 52 — le kit d’information de l’actionnaire 54 — L’actionnariat salarié 56

libéré du contrôle des actionnaires en raison d’un problème de passager clandestin (free riding) et des coûts élevés d’organisation, est incité à poursuivre ses intérêts aux dépens des actionnaires. En revanche, dans la structure actionnariale concentrée, les actionnaires dominants contrôlent facilement et directement le dirigeant. Cette structure peut diminuer les coûts d’agence provoqués par l’opportunisme du dirigeant professionnel et améliorer la performance, mais les actionnaires dominants risquent

dettes), soit pour répondre à des besoins en fonds de roulement, ou enfin parce qu’elle veut se financer à un coût réduit (le capital n’étant rémunérée que par des dividendes). Elle peut par-ailleurs répondre aux souhaits de la société et de ses actionnaires de voir entrer un partenaire à son capital qui lui apportera de l’argent frais ou des biens, elle peut aussi répondre aux souhaits exprimés par les créanciers de voir certaines réserves être incorporés au capital afin d’augmenter leur propre gage

......................... 6 3.5.4. Solution. ............................................................................................................. 6 3.5.5. Analyse du cas de l’ancien actionnaire. .......................................................... 6 3.5.6. Analyse du cas du nouvel actionnaire............................................................. 7 Chapitre 4. CONVERSION DE DETTES. ...................................................................................... 7 4.1. Principes

bonne pratique_____________________________ 16 17 18 19 2 La gouvernance d’entreprise en Suisse________________________________ 21 Partie II. Structure de propriété et influence des actionnaires principaux____ 25 1 2 Introduction________________________________________________ _______ 26 Actionnaires de contrôle et bénéfices privés ___________________________ 28 2.1 Les bénéfices privés ___________________________________________________ 2.2 Les seuils de contrôle __________________________________________________

décisions ou l’accomplissement des objectifs de l’entreprise. B. Les différentes parties prenantes * Les salariés : attendent une rémunération satisfaisante, considération, de bonnes conditions de travail, sécurité de l’emploi * Les actionnaires : attendent que l’entreprise réalise du profit et leur verse des dividendes * Les clients et les consommateurs : attendent des produits de qualité, des informations sur les produits, l’entreprise s’engage dans le développement durable * Les

GESTION DES RESSOURCES FINANCIÈRES PRO • GESTION 03/04 LA CRÉATION DE VALEURS POUR LES ACTIONNAIRES À propos de l’auteur Jean Desrochers, B.A.A., M.B.A., Ph.D. Professeur titulaire à l’Université de Sherbrooke Département de finance Jean Desrochers a obtenu son doctorat en administration de l'Université Laval en 1989. Depuis 1993, il est professeur de finance à la Faculté d'administration de l'Université de Sherbrooke où il encadre également plusieurs étudiants inscrits à la maîtrise

économiques sans commune mesure. En effet certaines sociétés masquent l’activité d’un seul véritable associé avec peu de moyens financiers et peu de salariés tandis que d’autres structurent des entreprises gigantesques dont les salariés et les actionnaires se comptent par milliers. Malgré ces différences, ce sont les mêmes dispositions juridiques qui régissent et organisent toutes ces sociétés anonymes. Pour cela, il existe deux formules de gestion de la société anonymes : d’une part une gestion

complexité croissante des opérations économiques réalisées par la société ainsi que la diversification de leurs sources de financement et l'évolution capital investissement qui ont nécessité l'établissement de telles conventions complémentaires entre actionnaires, en sus des clauses statutaire traditionnelles. En effet, la rigidité du droit des sociétés, en particulier la société anonyme est souvent incompatible avec la nécessaire flexibilité que requièrent ses opérations. Ce qui a conduit la pratique