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THÉORIE FINANCIÈRE ET STRATÉGIE FINANCIÈRE Gérard Charreaux Lavoisier | Revue française de gestion 2006/1 - no 160 pages 109 à 137 ISSN 0338-4551 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-francaise-de-gestion-2006-1-page-109.htm --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

CHAPITRE 12 : Prudence : dépréciations et provisions pour risques 1. Le principe de prudence • La comptabilité est établie sur le base d’appréciations prudentes, pour éviter le risque de transfert, sur des périodes à venir, d’incertitudes présentes susceptibles de grever le patrimoine et le résultat de l’entreprise. 2. La dépréciation des actifs : principes • La valeur d’un actif : définitions - La valeur brute d’un actif est sa valeur d’entrée dans le patrimoine

LA VALORISATION DES SOCIÉTÉS DE LA NOUVELLE ÉCONOMIE PAR LES OPTIONS RÉELLES : VERTIGES ET CONTROVERSES D’UNE ANALOGIE LA VALORISATION DES SOCIÉTÉS DE LA NOUVELLE ÉCONOMIE PAR LES OPTIONS RÉELLES : VERTIGES ET CONTROVERSES D’UNE ANALOGIE CHRISTOPHE BOUCHER * ’évaluation des sociétés de la Nouvelle Économie1 demeure complexe et périlleuse dans la mesure où ces firmes se caractérisent par l’absence d’historique comptable, l’absence de firmes ou de secteurs comparables et l’absence de profits

Survol de l’IAS 36 Deux des normes dont il a été question dans de précédents articles de cette série, l’IAS 16, Immobilisations corporelles, et l’IAS 38, Immobilisations incorporelles, exigent que les pertes de valeur soient reflétées dans la valeur comptable des actifs. L’IAS 36 est la norme qui précise comment un actif qui a perdu de la valeur est identifié et comment une perte de valeur est déterminée. Objectif L’IAS 36 prescrit les procédures qu’une entité applique pour s’assurer que ses

LES INTERETS : EN BREF … 1 - Intérêts simples 1-1 Formule On dispose d’un capital " Vo " que l’on désire placer au taux d’intérêt " i " pendant " n " périodes (la durée du placement) pour obtenir une valeur acquise Vn . Chaque année on retire les intérêts " I " et on ne replace que le capital -au bout de la première année on dispose de : V1= Vo+ Voi= valeur acquise = Vo (1+i) - au bout de la deuxième année Vo (1+2i) - au bout de la Nième année Vn = Vo (1+ni) I=Vo x i x n Si

I. Sources de risque des obligations 1. Risques spécifiques 1.1 Le risque de défaut Ce risque est appelé encore risque de crédit ou risque de l’émetteur. Il représente la capacité de l’émetteur des obligations à honorer ses engagements (paiement périodique des coupons et remboursement du principal à l’échéance). Il existe des agences de notation qui apprécient la qualité des émetteurs et publient régulièrement les notes attribuées à chaque émetteur. |Agence

BTS ASSISTANT DE GESTION DE PME-PMI GESTION ADMINISTRATIVE, COMPTABLE ET COMMERCIALE Session 2008 LABORATOIRE LADANS Corrigé DOSSIER 1 : ÉTUDE DE LA FAISABILITÉ DU PROJET 1.1 Taux de croissance annuelle du CA (sur les 6 dernières années) - Tableau de calcul Années CA Taux de croissance (en %) 2001 527 636 2002 524 595 - 0.58 2003 555 133 5.82 2004 585 153 5.41 2005 610 197 4.28 2006 632 499 3.65 2007 650 078 2.78 - Représentation graphique Taux de croissance du CA (en %) 6 5,5 5 4,5 4

I Les principes du coût historique amorti et de la juste valeur A) Le coût historique amorti Au bilan de l’entreprise figure le montant des capitaux immobilisés dans la production. La logique du coût historique amorti consiste à comptabiliser à l’actif les coûts investis dans la production, c’est-à-dire les coûts des investissements liés aux facteurs de production tels qu’ils ont été fixés au moment de l’achat, corrigés de l’amortissement. Il s’agit donc de noter les sorties monétaires capitalisées

Les obligations I) Définition Une obligation est un titre de créance négociable. En effet, quand un investisseur achète une obligation, il prête en réalité une somme d'argent à l'émetteur de l'obligation et celui-ci contracte une dette. Par conséquent, l'émetteur (ou vendeur de l'obligation) est emprunteur et l'investisseur (ou acheteur de l'obligation) est créancier (prêteur). Ce créancier, qui est « épargnant » est donc détenteur d’un actif financier qu’il peut négocier (vendre) sur le marché

PLAN SOMMAIRE Aperçu sur le marché financier I) Caractéristiques financières d’un titre II) Critère de choix d’un titre III) Constitution d’un portefeuille La gestion de portefeuille est la branche de la gestion financière qui s’occupe de la prise de décisions, d’acquisitions, de cessions de titres et de constitution de portefeuille. Elle permet de répondre aux questions suivantes : Quel titre faut-il acquérir ou céder ? Comment constituer