Adamsberg

arrondissement où vient d'emménager Jean-Baptiste Adamsberg , commissaire à la brigade criminelle, une femme vient dire son inquiétude suite à l'apparition de 4 inversés peints sur toutes les portes de son immeuble. Le commissaire lui conseille gentîment de rentrer chez elle et de ne pas se faire de bile. Mais lorsqu'elle revient quelques jours plus tard avec quelques coupures de presses relatant le même scénario dans plusieurs immeubles éparpillés dans Paris Adamsberg a l'intuition que quelque-chose de malsain

pseudonyme vient du personnage joué par Ava Gardner dans La Comtesse aux pieds nus : Maria Vargas. Fred Vargas est aussi Archéologue au CNRS et Historienne. Son personnage fard qui revient dans la plupart de ces romans est le Commissaire Jean-Baptiste Adamsberg. Il est présent dans « L'homme aux cercles bleus » (1990) ; « Les quatre Fleuves » (2000) ; « Pars Vite et revient Tard » (2001) et « L'homme à l'envers » (1999). Nous avons étudié « L'homme à l'envers » et l'histoire se passe dans les Forêts du

titulaire d'un doctorat d'Histoire, sur la peste au Moyen-Âge. Elle a écrit L'homme à L'envers à 42ans ou elle fait jouer Adamsberg, Danglard et Camille qui sont aussi dans d'autre ouvrage tel que L’homme aux cercles bleus, Pars vite et revient tard,Sous les vents de Neptune et Un lieu incertain. Présentation des personnages : Les personnages principaux sont Jean-Baptiste Adamsberg, Camille Forestier, Soliman Melchior Samba Diawara dit 'Sol', Philibert Fougeray dit 'Le Veilleux' et Lawrence Donald

pour L’homme à l’envers. Pars vite et reviens tard a obtenu le prix des Libraires et le Grand prix des lectrices de Elle en 2002. Fred Vargas a su créer des personnages étonnants et attachants. Le plus célèbre des commissaires vargassiens, Jean-Baptiste Adamsberg, et son acolyte, Adrien Danglard, constituent des personnages récurrents des ouvrages de l’auteur. Les livres de Fred Vargas sont traduits dans une quarantaine de pays et sont adaptés au cinéma ou la télévision. www.polarnoir.fr/auteur.php www

se lance à la poursuite de Massart qui a subitement et bizarrement disparu. Mais en vain, cela ne donne rien et Camille appelle Jean-Baptiste Adamsberg, une ancienne relation et un commissaire de police très réputé. La piste se poursuit par beaucoup de brebis égorgées et d’autres personnes tuées. Enfin, après avoir échappé à la mort par deux fois, Adamsberg se rend compte que ce n’est ni un grand loup, ni un loup garou mais le copain de Camille, Lawrence, un canadien qui « étudie les loups du Mercantour »

qu’il mangeait, indifférent comme les meubles qui l’entouraient, indifférent comme lui étaient les habits qu’il portait, donnés, hérités, trouvés on ne sait où. Mais finalement, pour le lieu où vivre, ce n’était pas aussi simple. Jean-Baptiste Adamsberg avait parcouru pieds nus toute la montagne pierreuse des Basses-Pyrénées. Il y avait vécu et dormi, et plus tard, une fois flic, il y avait travaillé sur des meurtres, meurtres dans des villages de pierre, meurtres dans des sentiers minéraux

Vasco est installé sur un banc devant le commissariat. Adamsberg, lui reçoit d’étranges lettres anonymes. Dans ces lettres, Adamsberg apprend que quelqu’un a tué mais on ne sait pas qui est le meurtrier ni la victime. Vasco toujours assis sur son banc manipule des petits objets, ce qu’il appelle ses fétiches. Peu à peu Adamsberg apprend dans ces lettres anonymes qu’une femme a été tuée dans une gare. Cette femme, c’est Colette Verny. Adamsberg interroge Vasco qui lui avoue que son frère a tué cette

dernier au débout de Juillet. Enfin à propos de la disparition de Clémence, Danglard dit à un certain moment, que ça faisait vingt-sept jours qu’elle avait disparue et ils ne l’avaient pas encore retrouvée. PERSONNAGES PRINCIPAUX ADAMSBERG Jean-Baptiste Adamsberg, il a quarante-cinq ans, il n’est pas beau mais il est beaucoup charmant. Il a un visage particulier, unique, plein de défauts mais que dans le complexe le rend fascinant. Selon Mathilde, il a un profil doux et un profil âpre qu’il

méfiait. Adamsberg et lui avaient des conceptions très éloignées de ce qu’on appelle un “truc intéressant”. Ainsi, le commissaire trouvait assez intéressant de ne rien faire, alors que Danglard trouvait cela mortellement paniquant. Le lieutenant jeta un coup d’œil soupçonneux à la feuille de papier blanc qui voletait entre les mains d’Adamsberg. (…/…) À vrai dire, il s’était accoutumé à cet homme, tout en s’irritant d’un comportement inconciliable avec sa propre manière d’exister. Adamsberg se fiait

Vasco, vieux tailleur sans argent, sʻinstalle sur un banc devant le commissariat. En même temps, la police reçoit des lettre anonymes, signées par „Salut et liberté, X.“ X se vante dʻavoir tué sans que personne ne lʻait remarqué. Le commissaire Adamsberg pense quʻil y a une connexion entre les lettres et Vasco (le policier Danglard nʻy croit pas) et interroge le vieux (dehors, dans un restaurant). Vasco ne dit rien, mais à lʻaube, il va chez le commissaire (à la maison) et dit quʻil est payé