Adamsberg

raisons. Tout d'abord, c'est le premier publié aux Editions Viviane Hamy, une jeune maison d'édition auprès de qui elle restera fidèle. C'est également la première fois qu'apparaît dans ses romans son personnage fétiche, le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg, dont elle décrit les enquêtes depuis maintenant douze ans. Si les ventes ne sont pas encore exceptionnelles, Viviane Hamy lui fait confiance. Ses "rompols'" (= romans, comme elle aime les désigner) se suivent et se vendent de mieux en mieux

de trois nouvelles de Fred Vargas (Salut et liberté, La Nuit des brutes et Cinq francs pièce) illustré par Baudoin qui a également travaillé en collaboration avec cet auteur sur Les quatre fleuves. On y retrouve sur trois enquêtes le commissaire Adamsberg, toujours aussi rêveur, et son collègue Danglard qui continue quant à lui de siroter son vin blanc. Sommaire [masquer] 1 Salut et liberté 1.1 Extrait 2 La Nuit des brutes 2.1 Extrait 3 Cinq francs pièce 4 Lien externe Salut et liberté[modifier

Fred Vargas : L'homme à l'envers Etude des personnages Le commissaire Adamsberg : Jean-Baptiste Adamsberg travaillant dans la police depuis 25 ans et qui doit bientôt atteindre la cinquantaine n'est pas réputé pour être un homme héroïque. Il est plutôt du genre calme, réservé et observateur. Le narrateur le décrit comme étant un homme qui  « n'avait pas de nerfs. Il ne savait pas ce que c'était de se contracter ni-même de se détendre. » On le présente comme une sorte d'antihéros mais qui a

vont-ils trouver Camille ? En quoi modifie-t-elle leur plan ? (1,5 pt) 6) Quel véhicule empruntent-ils ? Comment savent-ils où aller ? (1 pt) 7) Qui Camille décide-t-elle d’appeler à l’aide ? Pourquoi si tard ? (1 pt) 8) Pourquoi Adamsberg doit-il quitter Paris sans se faire suivre ? (1 pt) 1) Plusieurs jours d’affilée, des brebis sont retrouvées égorgées ou à demi dévorées dans leurs enclos. Les villageois pensent immédiatement qu’il s’agit d’un loup et les journalistes

Le Guern, connait quelques succès en reprenant le vieux métier de crieur public, le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg est alerté par une femme inquiète de la présence de grands « 4 » noirs inversés et sous-titrés des trois lettres CLT (Cito Longe Tarde) sur toutes les portes de son immeuble à l'exception d'une seule. Devenant curieux lorsqu'un second immeuble subit le même sort, Adamsberg s'inquiète véritablement lorsque le crieur, épaulé d'un vieil érudit (Decambrais), vient lui rapporter des messages

taillés sur la nuque, et qui ressemblait à Cléopâtre » (p.18-19). Elle est musicienne et plombière (p.19), elle compose de la musique (p.21). Elle aime parler (p.25), mais est contente de se reposer avec le silencieux Lawrence. Jean-Baptise Adamsberg Il est commissaire (p.13). Il habite Paris. Il est lent, et a passé son enfance dans les Pyrénées . Il aime les loups comme on aime les cauchemars. B / Les personnages secondaires Sylvain Il est boucher (p.28) Gerrot Il est menuisier

dernier au débout de Juillet. Enfin à propos de la disparition de Clémence, Danglard dit à un certain moment, que ça faisait vingt-sept jours qu’elle avait disparue et ils ne l’avaient pas encore retrouvée. PERSONNAGES PRINCIPAUX ADAMSBERG Jean-Baptiste Adamsberg, il a quarante-cinq ans, il n’est pas beau mais il est beaucoup charmant. Il a un visage particulier, unique, plein de défauts mais que dans le complexe le rend fascinant. Selon Mathilde, il a un profil doux et un profil âpre qu’il

trois fois par jour sur une place parisienne. Depuis environ trois semaines, Joss reçoit d’étranges messages écrits en ancien français et annonçant le retour d’un terrible fléau. Chapitres 4 à 13 Pendant ce temps, le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg est muté à Paris à la brigade des homicides. Il reçoit une jeune mère de famille venue porter plainte car elle a découvert d’étranges inscriptions sur les portes des locataires de son immeuble : le chiffre quatre retourné et tracé à l’encre noire

ne le sait. Certains textes sont en latin, d'autres semblent copiés dans des ouvrages vieux de plusieurs siècles. Decambrais quant à lui est un septuagénaire qui va essayer de déchiffrer les annonce peu communes. Le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg, qui vient d'être affecté à l'antenne du XIIIe arrondissement de la brigade criminelle, reçoit Maryse. La jeune femme est affolée d'avoir découvert peint en noir sur presque toutes les portes de son immeuble une sorte de grand quatre à l’envers,

Le Guern, connait quelques succès en reprenant le vieux métier de crieur public, le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg est alerté par une femme inquiète de la présence de grands « 4 » noirs inversés et sous-titrés des trois lettres CLT (Cito Longe Tarde) sur toutes les portes de son immeuble à l'exception d'une seule. Devenant curieux lorsqu'un second immeuble subit le même sort, Adamsberg s'inquiète véritablement lorsque le crieur, épaulé d'un vieil érudit (Decambrais), vient lui rapporter des messages