Adamsberg

sélectionner un héros par période qui sont Télémaque de Les aventures de Télémaque par Fénelon pour le 17ème siècle, Marianne de La vie de Marianne par Marivaux pour le 18ème siècle, Jeanne d’Une vie par Maupassant pour le 19ème siècle et enfin Adamsberg de Sous les vents de Neptune par Fred Vargas pour le 20ème siècle. Le 17ème siècle Extrait de Les aventures de Télémaque par Fénelon publié en 1824 « Nous le suivîmes, sans aucun désir de vaincre, mais par la seule curiosité de voir une

Un loup-garou. Elle était étendue dans la paille crottée, sur le dos, les bras écartés, la chemise de nuit remontée jusqu’aux genoux. À la gorge, une blessure avait laissé échapper un flot de sang. À Paris, devant son poste, Jean-Baptiste Adamsberg – le rêveur et « sylvestre » commissaire de L’Homme aux cercles bleus – guette les nouvelles du Mercantour. Il ferme les yeux. Son enfance pyrénéenne, la voix des vieux… Comme des tisons, mon gars, comme des tisons ça fait, les yeux du loup

personne ne le sait. Certains textes sont en latin, d'autres semblent copiés dans des ouvrages vieux de plusieurs siècles. Decambrais quant à lui est un septuagénaire qui va essayer de déchiffrer les annonce peu communes. Le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg, qui vient d'être affecté à l'antenne du XIIIe arrondissement de la brigade criminelle, reçoit Maryse. La jeune femme est affolée d'avoir découvert peint en noir sur presque toutes les portes de son immeuble une sorte de grand quatre à l’envers,

choses afin d’en dégager la véritable essence. Le livre : Pars vite et reviens tard Résumé : Alors qu'un ancien marin breton, Joss Le Guern, connait quelques succès en reprenant le vieux métier de crieur public, le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg est alerté par une femme inquiète de la présence de grands "4" noirs inversés et sous-titrés des trois lettres CLT (Cito Longe Tarde) sur les portes de son immeuble. Il devient curieux lorsqu'un second immeuble subit le même sort où se rajoutent

homme. Un loup-garou. "Elle était étendue dans la paille crottée, sur le dos, les bras écartés, la chemise de nuit remontée jusqu'aux genoux. A la gorge, une blessure avait laissé échapper un flot de sang." A Paris, devant son poste, Jean-baptiste Adamsberg - le rêveur et "sylvestre" commissaire de "L'homme aux cercles bleus" guette les nouvelles du Mercantour. Il ferme les yeux. Son enfance pyrénéenne, la voix des vieux... "Comme des tisons, mon gars, comme des tisons ça fait, les yeux du loup, la

remplies de pacotilles diverses et variées : le banc est devenu son lieu de vie , il y amène un lampadaire qui ne fonctionne plus , son tailleur... Donc , le commissaire Adamsberg et le lieutenant Danglard sont interpellés par le comportement insolite de Vasco. Le second mot qui peut qualifier cette œuvre serait « intrigue ». Adamsberg reçoit d'étranges lettres anonymes qui à la fois le flattent , l'insultent et lui annoncent qu'un meurtre a été commis . Avec son flegme habituel et des recoupements dont

niveau des personnages qu’au niveau de l’enquête. Il y a des personnages mystérieux qui donnent envie de lire la suite lorsque nous les voyons, de savoir ce qu’il va se passer. Alors que dans le film l’intrigue est surtout basée sur l’enquête et Adamsberg. L’espace est le même dans les deux formats mais le livre permet de nous imaginer les endroits, alors lorsque on a déjà lu le livre, on est déçu de voir quelque chose qu’on ne s’imaginait absolument pas. Je n’ai pas été déçu lorsque j’ai vu la

| |3-Les personnages |Réaliser les portraits des personnages ( |Personnages | |chap. 1 à 8 |Camille , Adamsberg , Lawrence …) |Portrait | | |Déterminer le personnage principal |Schéma actantiel | |4-L’enquête policière :

dans un «roade-mouvie» (comme dit le Veilleux) un peu absurde. Mais cet assassin reste introuvable, et c'est pourquoi Camille appelle à l'aide son ancien ami, qui n'est autre que le célèbre commissaire Adamsberg. Et malgré toutes les preuves que la police récolte pour accuser Massart, Adamsberg trouve que tout cela est trop facile. Evidemment ! Et si, comme toujours, l'assassin n'était pas celui que l'on croit ?

l’image du labyrinthe décrit dans le Dictionnaire des symboles, le détour nous amène « dans l’âme en état de grâce, ou encore aux profondeurs de l’inconscient » (l.31-32). Il en est de même dans le roman policier de Fred Vargas où le commissaire Adamsberg fait le choix de ne pas « réfléchir de manière cohérente » (l.4) puisque pour lui il faut « éviter les démarches directes » (l.6). Ici, le personnage laisse libre cours à son esprit, le laissant divaguer à sa guise. Nous voyons donc que le cheminement